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Le Dahlia Noir, de James Ellroy

 

Auteur : James Ellroy – Traducteur : Freddy Michalski
Editeur : Rivages – Parution (poche) : Novembre 2006
ISBN : 9782743615871 – Prix : 9.45 €

A propos de l’auteur

James Ellroy, de son vrai nom Lee Earle Ellroy, (né le 4 mars 1948 à Los Angeles en Californie) est un écrivain de polars américain. S’affirmant comme « conservateur » et « réactionnaire », il dépeint dans son œuvre un monde particulièrement pessimiste et corrompu, dans lequel perce néanmoins la notion de rédemption, fil conducteur de nombre de ses ouvrages. Parmi ceux-ci, on peut citer la série de quatre livres sur Los Angeles dont font partie Le Dahlia noir et L.A. Confidential, sa trilogie Underworld USA qui retrace son histoire des États-Unis de 1958 à 1973, ainsi que son récit autobiographique Ma part d’ombre 1958.

Résumé

Janvier 1947, Los Angeles. Le corps d’une jeune fille mutilée est découvert, et bientôt surnommé, le Dahlia Noir, à cause de ses habits. Enquête sur son meurtre.

Ressenti

On m’a souvent décrit l’oeuvre de James Ellroy comme étant magistrale dans le domaine du policier, et il faut donc avouer que je m’attendais à quelque chose de grandiose avec ce roman.
La première chose surprenante ici, c’est la lenteur. L’auteur a choisi de mettre en place tout doucement cette ambiance des années 50 aux USA, prend tout son temps pour nous présenter ses personnages, et si ma foi ça n’est pas déplaisant, on ne s’y attend pas vraiment en commençant ce livre.
Blanchart et Bleichert sont les deux flics chargés de l’enquête, l’un débutant à la Criminelle, l’autre dans le service depuis des années. On comprend assez vite que le premier a un passé assez lourd, dont il ne semble pas vouloir vraiment parler.
Ellroy a tracé un monde violent et quelque peu sans pitié, mais qui paraît réaliste tout de même, et surtout, on s’identifie assez bien à Bleichert, personnage qui nous parle. Malgré la lenteur du récit, on est très vite pris par les deux personnages principaux, par l’ambiance, et enfin par l’affaire.

shaya

2 réflexions sur « Le Dahlia Noir, de James Ellroy »

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