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Bilan mensuel #53 Janvier 2025

Fin décembre, je savais déjà que janvier allait être un mois peu évident pour diverses raisons. Spoilers alert : il l’a été, et même carrément très difficile. Sans surprise, à part au début du mois où vous avez profité des articles planifiés, l’activité du blog a été réduite au strict minimum et c’est la même chose côté lecture. Heureusement février s’annonce plus léger !

Côté blog

Côté lecture

Pas beaucoup d’imaginaire ce mois-ci, mais ça reviendra !

  • Anne Boleyn d’Alison Weir : j’ai beaucoup aimé ce roman historique, ne le chroniquerai pas, mais il n’est pas impossible que je continue à explorer la bibliographie de cette autrice, surtout sur les Tudors.
  • La petite menteuse de Pascale Robert-Diard : chronique à venir
  • Le changelin de Victor Lavalle : en cours !

Côté Ecrans

Rien sur grand écran, sur petit, j’ai terminé Entretien avec un vampire saison 2, sans surprise c’était au top. J’appréhendais beaucoup la fin de l’intrigue avec Claudia, mais c’est très bien géré. Hâte de voir la proposition pour la saison 3.

Au programme de janvier, également Silo, que j’aime beaucoup aussi. Changement de registre pour la fin du mois, je découvre actuellement le spin-off de Criminal Minds, et pour l’instant ça n’est pas trop mal.

Côté PAL

3 entrées, c’est plutôt raisonnable !

  • Les féministes t’encouragent à quitter ton mari, tuer tes enfants, pratiquer la sorcellerie, détruire le capitalisme et devenir trans-pédé-gouine d’Alex Tamécylia

« Un souffle tellement puissant qu’il pulvérise autant qu’il galvanise… Le goût du vitriol et de la lucidité. » Chloé Delaume

« Tu ne seras ni social justice guérillère ni caution féministe pour ligne budgétaire. »

  • La cité diaphane d’Anouck Faure
« Vous qui entrez ici, abandonnez tout espérance. »
Merveille architecturale élancée vers le ciel, RocheÉtoile a connu la gloire avant une chute brutale. La ville sainte de la déesse sans visage est maudite, réduite à l’état de nécropole depuis que les eaux de son lac et de ses puits sont devenues poison mortel, victimes du mystérieux mal d’onde.
Sept ans après le drame, l’archiviste d’un royaume voisin se rend dans la cité défunte avec pour mission de reconstituer le récit de ses derniers jours. Mais il s’avère bientôt que Roche-Étoile abrite encore, dans le dédale de ses ruelles, quelques âmes égarées. Ici un forgeron, là une chevaleresse, et d’autres qui gardent dans ce labyrinthe les sombres secrets du passé.
  • David Copperfied de Charles Dickens

Lorsqu’en 1850 il publie David Copperfield, Charles Dickens offre à ses lecteurs le premier roman qu’il ait écrit à la première personne, et, derrière l’histoire de son jeune héros, c’est aussi parfois la sienne qu’on peut lire. Mais ce que dessinent surtout les douloureuses premières années, le dur apprentissage de la vie dans une fabrique, puis la fuite et l’errance picaresque du jeune Copperfield, c’est un roman de formation où le personnage se fait son propre biographe. Il arrive alors qu’on ne sache pas si le réel évoqué est celui que l’enfant vécut au présent ou celui que l’adulte revisite au passé. Car, d’épreuve en épreuve, c’est une nouvelle image de soi que le narrateur peu à peu reconstruit, avant de devenir lui-même, à la fin du livre, un écrivain semblable à celui qui, dès le début, a pris la plume pour raconter sa vie – et nous offrir ce qui est encore aujourd’hui le plus grand roman anglais du xixe siècle.

  • Anne Boleyn d’Alison Weir

Seuls comptaient pour Anne le pouvoir, la future dynastie qu’elle allait engendrer et la réforme religieuse. L’union charnelle n’avait été qu’un moyen de parvenir à ses fins et maintenant tout cela se trouvait à sa portée. Elle s’était offerte à Henri ; ils avaient peut-être même conçu le fils qui comblerait toutes leurs attentes. Auquel cas, son triomphe fleurissait déjà en elle.

Au printemps 1522, la jeune Anne Boleyn rentre de France et se fait remarquer à la cour du roi Henri VIII par son esprit et son charme. Fougueux, il est prêt à tout pour posséder celle qui incarne à ses yeux la perfection et va jusqu’à répudier la reine, Catherine d’Aragon.

Après avoir perdu l’homme qu’elle aimait, Anne n’apprécie guère les avances de Henri, à qui elle ne pourra jamais offrir son coeur. Mais, portée par son ambition, elle cède au roi, tout en refusant avec ruse le statut de simple maîtresse. Elle se lance alors dans un jeu dangereux pour monter sur le trône, sans se douter qu’elle court à sa perte…

 

shaya

13 réflexions sur « Bilan mensuel #53 Janvier 2025 »

  1. « Heureusement février s’annonce plus léger » : *doigts croisés*
    Oh « David Copperfield ». Je n’en ai absolument aucun souvenir, ça remonte à trop loin, mais je crois que c’était une bonne lecture. ^^

  2. On est déjà à la moitié du mois, j’espère que février a effectivement pris la tournure plus légère annoncée. Le changelin est très intriguant, je l’ai beaucoup vu passer et il a été nominé pour je ne sais plus quel prix récemment.

    1. Merci, effectivement c’est un mois plus léger que le précédent, c’est déjà ! Je me suis mise en pause sur Le changelin à cause de son poids, mais il faut vraiment que j’avance dans ma lecture !

  3. Ah bah j’allais te demander ce qui t’avait amenée à David Copperfield, et je vois que c’est moi qui te l’ai conseillé. Mais je ne l’ai pas lu. Je crois que je n’ai jamais rien lu de Dickens. L’ai-je lu et oublié ? Tu es sûre que c’est moi qui t’en ai parlé ? (Lol.)
    En espérant que février soit en train de se passer mieux!!!

    1. Mmmh, je suis presque sûre que c’était toi en janvier ! Quand à ta mémoire, toi seule le sais …. Merci, pour l’instant février se passe mieux oui !

      1. Mais… mais… on s’est vues en janvier? (Cette conversation est un bouquin d’Antoine Bello ou L’Anomalie d’Hervé le Tellier!!! :D)

          1. Ah mais oui !!! Bon, le mystère demeure sur David Copperfield, mais je me sens déjà moins à l’ouest!

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