Et c’est parti pour le dernier bilan de l’année, relativement rempli en lectures, mais pas au niveau blog.
Côté blog
La fatigue et surtout la douleur sont passées par là, tant pis pour les chroniques !
Côté lecture
- Anthologie Utopiales 2024 : finie pile pour la fin de l’année !
- La montagne sous la mer de Ray Nayler : ce roman est juste génial, par contre il faut être bien réveillé pour le lire ! Chronique à venir
- Requiem pour les fantômes de Katherine Arden : une très très belle lecture sur la Grande Guerre. La chronique arrive
- Fragile/s de Nicolas Martin : bon pour le coup, je suis mitigée. Le roman est intéressant, mais un point en particulier m’a bloquée dans ma lecture. Je ne suis pas certaine d’en parler sur le blog.
Côté Ecrans
Revenez l’année prochaine !
Côté PAL
Ouf, ce mois-ci est beaucoup plus calme ! Deux sont des cadeaux de Noël, un achat, et le dernier un achat « accidentel », une sombre histoire de mauvais titre de livres dans une liste de Noël….
- Rivage des femmes de Pamela Sargent
Alors qu’elle a commis une faute grave, la jeune Birana est bannie de la Cité des femmes et se retrouve livrée au monde extérieur et à la barbarie des hommes qui y errent en hordes. Que peut-elle attendre de ces sauvages qui la considèrent comme une déesse, mais qui découvriront sa nature humaine et ses faiblesses ? Résistera-t-elle longtemps à Arvil, cet homme partagé entre l’adoration et le désir, l’amour et la perte progressive de sa foi envers la Dame ? Que découvrira-t-elle enfin de si bouleversant sur cette société coupée en deux, sur cette autre moitié de l’humanité, tout comme sur elle-même ?
- Résister de Salomé Saqué
L’extrême droite est aux portes du pouvoir. Dans les urnes comme dans les esprits, ses thèmes, son narratif et son vocabulaire s’imposent. Il est encore temps d’inverser cette tendance, à condition de comprendre les rouages de cette progression et de réagir rapidement.
- La petite menteuse de Pascale Robert-Diard
A quinze ans, Lisa est une adolescente en vrac, à la spontanéité déroutante. Elle a eu des seins avant les autres filles. Des seins qui excitent les garçons.
Mais Lisa change et devient sombre. Elle semble en permanence au bord des larmes. Acculée par ses professeurs, elle finit par avouer. Un homme a abusé d’elle, plusieurs fois.
Les soupçons se portent sur Marco, un ouvrier venu faire des travaux chez ses parents. Marco n’a jamais été longtemps avec une femme. Il a essayé les hommes. Il boit trop. Il écrit des lettres rageuses pour sa défense, pleines de points d’exclamation. Sans hésitation, Marco est condamné à dix ans de prison.
Lors du procès en appel, Lisa est majeure. Elle débarque dans le bureau d’Alice, une avocate de la petite ville de province. « Je préfère être défendue par une femme. »
C’est comme cela que tout a commencé.
- Alice Guy de Catel et Bocquet
En 1895, à Lyon, les frères Lumière inventent le cinématographe. Moins d’un an plus tard, à Paris, Alice Guy, 23 ans, réalise La Fée aux choux pour Léon Gaumont. Première réalisatrice de l’histoire du cinéma, elle dirigera plus de 300 films en France. En 1907, elle part conquérir l’Amérique, laissant les Films Gaumont aux mains de son assistant Louis Feuillade. Première femme à créer sa propre maison de production, elle construit un studio dans le New Jersey et fait fortune. Mais un mariage malheureux lui fait tout perdre.
Femme libre et indépendante, témoin de la naissance du monde moderne, elle aura côtoyé les pionniers de l’époque : Gustave Eiffel, Louis et Auguste Lumière, ou encore Georges Méliès, Charlie Chaplin et Buster Keaton.
Elle meurt en 1969, avec la légion d’honneur, mais sans avoir revu aucun de ses films – perdus et oubliés. C’est en 2011, à New York, que Martin Scorsese redonne un coup de projecteur sur cette femme exceptionnelle.
« mais un point en particulier m’a bloquée dans ma lecture » : on peut demander lequel ou c’est personnel ?
« et le dernier un achat « accidentel » » : pas facile ce « qui est-ce ? », il y a un piège ou c’est la solution la plus évidente ? ^^
Alors pour Fragile/s, ce qui m’a gênée, c’est qu’au début du roman, on parle de l’autisme comme d’une maladie, et c’est problématique pour moi, car c’est un handicap et non une maladie.
Pour l’achat accidentel, on peut dire qu’il y a un piège, c’est Alice Guy ^^
Oui mêmes questions que Baroona pour Fragile/s et l’achat accidentel.
Super pour Alice Guy, très chouette bd (si c’est pas l’achat accidentel, mais ce serait étonnant tout de même)
Du coup la réponse pour Fragile/s : c’est qu’au début du roman, on parle de l’autisme comme d’une maladie, et c’est problématique pour moi, car c’est un handicap et non une maladie.
Alors l’achat accidentel c’est bien Alice Guy, parce qu’en fait ma belle-soeur m’avait demandé pour Noël cette BD, sauf qu’elle voulait en réalité la dernière BD de Catel, elle s’est trompée de titre ^^ et c’est bien pour ça qu’au final j’ai décidé de garder pour moi Alice Guy !