J’avais déjà entendu parler de l’auteur à cause de son précédent roman, L’éducation de Tony Smayhall, qui m’avait fait fuir à l’évocation du mot « zombies ». Parce que bon, les zombies et moi, moins on se voit, mieux on se porte….
J’avais déjà entendu parler de l’auteur à cause de son précédent roman, L’éducation de Tony Smayhall, qui m’avait fait fuir à l’évocation du mot « zombies ». Parce que bon, les zombies et moi, moins on se voit, mieux on se porte….