Nous allons tous très bien, merci, de Daryl Gregory

J’avais déjà enten­du par­ler de l’au­teur à cause de son précé­dent roman, L’é­d­u­ca­tion de Tony Smay­hall, qui m’avait fait fuir à l’évo­ca­tion du mot “zom­bies”. Parce que bon, les zom­bies et moi, moins on se voit, mieux on se porte.…