Accueil » Livres » Aux malheurs des dames, de Lalie Walker

Aux malheurs des dames, de Lalie Walker

 

Auteur : Lalie Walk­er
Edi­teur : Pari­gramme — Paru­tion : 05/11/2009
Prix : 15€ — ISBN : 9782840966067

A propos de l’auteur

Ecrivain, scé­nar­iste, psy­chothérapeute, Lalie Walk­er est l’au­teur de nom­breuses nou­velles et de romans noirs, par­mi lesquels L’Ap­pel du barge (Baleine, 2001) et La Stratégie du fou (Folio polici­er, 2008), suite de N’ou­blie pas (Folio polici­er, 2007).

Résumé

Nous sommes au marché Saint-Pierre, refuge parisien de les ado­ra­teurs du tis­su sous toutes ses formes. Mais la ten­sion monte, les pro­prié­taires ont reçu des let­tres de men­ace, des poupées de tis­su ont été retrou­vées à divers endroits de la bou­tique, et pour finir, deux employées, Vio­lette et Mar­i­anne, dis­parais­sent… Que se passe-t’il donc ?

Rebec­ca Lev­asseur prend l’af­faire en main…

Ressenti

(oui, oui, je sais, je suis nulle pour résumer un polar. Mais c’pas facile. Bref.)

Si vous voulez un bon polar, qui entraîne très très vite avec lui, ne cherchez plus, vous avez trou­vé. On est tout de suite mis dans l’am­biance par une scène où on retrou­ve Vio­lette face à son kid­nappeur, le ton est don­né, elle va pas rigol­er ^^ On a beau­coup de per­son­nages sec­ondaires, Thomas Klein le flic qui s’est à pri­ori plan­té de voie, Ange, con­cur­rent du Marché Saint-Pierre, les pro­prié­taires du dit-marché, des employés ^^

Cer­tains sont évidem­ment moins con­sis­tants que d’autres, mais tous trou­vent une petite place ^^ On a aus­si Léon, employé para­noïaque fou amoureux de Vio­lette. Et par là même, une flopée de sus­pects. Le marché est une insti­tu­tion dans le monde de la cou­ture, et cer­tains aimeraient bien le con­tr­er.

En revanche, la moti­va­tion de Rebec­ca Lev­asseur, per­son­nage prin­ci­pal, n’est pas vrai­ment claire et même à mon goût un peu bateau. Une soci­o­logue qui vient tra­vailler dans le milieu du tis­su, pourquoi pas, mais qui va s’in­téress­er à la dis­pari­tion de celle qu’elle rem­place (ndlr : Vio­lette), au point d’en­quêter là-dessus ? C’est mal­heureuse­ment un peu faible pour moi.

Cepen­dant, c’est un polar qui se lit très bien, et non, on ne s’at­ten­dra pas à la fin, et d’ailleurs, je vous parie que ceux qui le liront ne trou­veront pas le coupable avant la fin ! Bonne lec­ture :p

shaya

Un commentaire sur “Aux malheurs des dames, de Lalie Walker

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Revenir en haut de page