Novembre a été un mois un peu étrange : le début était plein de lectures, le milieu bien plus vide, et la fin repart sur plus de lecture. Allez comprendre ! Bref, c’est parti pour le bilan du mois !
Côté blog
Deux chroniques en plus du bilan mensuel, j’estime que c’est un bon rythme.
Côté lecture
Le rythme de lecture n’est pas tout à fait celui que j’aurais voulu, mais je ne désespère pas de me remettre à lire dans les transports.
- L’heure bleue de Paula Hawkins : Un petit polar, pas inintéressant mais qui manque un peu d’enquête à mon goût.
- Ce qui se dit par la montagne de Premee Mohamed : Novella plutôt pas mal, chronique à venir
- La migration annuelle des nuages de Premee Mohamed :Novella plutôt pas mal aussi, chronique à venir
- Legendes et lattes de Travis Baldree : Bonne découverte, parfait en lecture pas prise de tête. Chronique à venir
Côté Ecrans
Le mois dernier, je vous disais vouloir rattraper mon retard de Doctor Who. C’était sans compter mon revisionnage des Tudors et la découverte des adaptations de Philippa Gregory, The White Queen, The White Princess, et The Spanish Princess. J’en parle rarement ici, mais cette période de l’histoire m’intrigue énormément.
Côté PAL
Une accalmie après le déferlement des Utos, ouf ! On compte juste deux entrées, dont une déjà ressortie !
- L’heure bleue de Paula Hawkins
Lorsqu’un os humain est découvert au centre d’une sculpture d’une célèbre artiste, un expert part enquêter sur l’île écossaise où elle habitait… Parfois, un acte de violence peut être une preuve de dévouement.
Après son décès, Vanessa Chapman, artiste à la renommée mondiale, laisse à la postérité des peintures, des sculptures et beaucoup de questions. Pour quelle raison a-t-elle décidé d’acheter Eris, une île écossaise…
- Toutes les vies de Rebecca Warrior
« Une nuit, dans notre bicoque sur la plage, j’ai fait un drôle de cauchemar.
La mort contournait la moustiquaire et tentait perfidement de s’introduire dans notre lit.
Elle attendait tapie dans l’ombre que je m’endorme pour s’infiltrer et prendre Pauline.
C’était elle qu’elle voulait.
Elle s’en fichait de moi.
Je lui mettais des bâtons dans les roues.
Ça ne lui plaisait pas.
Je passais la nuit à monter la garde.
La mort était mécontente.
Au petit matin, je m’étais assoupie, elle était venue souffler près de mon visage.
Elle avait murmuré quelque chose, mais je n’avais pas compris quoi.
Elle parlait latin ou suédois.
Juste pour me faire chier. »