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La communauté de l’anneau, de J.R.R. Tolkien

 

Auteur : J.R.R. Tolkien — Tra­duc­teur : Fran­cis Ledoux
Edi­teur : Pock­et — Paru­tion : 1991
ISBN : 9782266162418 — Prix : 6.60 €

A propos de l’auteur

 

Né en 1892 à Bloem­fontein (Afrique du Sud), de par­ents anglais, John Ronald Reuel Tolkien passe son enfance, après la mort de son père en 1896, à Sare­hole près de Birm­ing­ham (Angleterre), dont sa famille est orig­i­naire. Diplômé d’Ox­ford, il tra­vaille en 1919 (après avoir servi dans les Lan­cashire Fusiliers pen­dant la Pre­mière Guerre mon­di­ale) au célèbre Dic­tio­n­naire d’Ox­ford. Il obtient ensuite un poste à Leeds, puis une chaire de langue anci­enne (anglo-sax­on) à Oxford de 1925 à 1945 et, enfin, une chaire de langue et lit­téra­ture anglais­es de 1945 jusqu’à sa retraite, en 1959.

 

Quatrième de couverture

 

Oyez, bonnes gens, oyez la très véridique his­toire de l’An­neau de Puis­sance forgé naguère par Sauron le Grand.
Un homme eut le courage de lui arracher le tal­is­man et put ain­si le chas­s­er hors du monde. Le Maître Anneau se perdit. Qui sait ? Peut-être a‑t-il fait le mal­heur de ceux qui l’ont pris ? Mais la Terre du Milieu s’en­fonce dans la nuit, les créa­tures mau­vais­es se mul­ti­plient et, dans les Monts Brumeux, les Orques traque­nt les Nains. L’En­ne­mi est de retour ! Avec l’An­neau Unique, il aurait le moyen d’a­bat­tre toute résis­tance.

 

Ressen­ti

Tout d’abord, sachez qu’en rai­son de la pop­u­lar­ité de l’œuvre, je me per­me­ts de spoil­er. Na. Et sachez aus­si que je suis navrée de la petitesse de cet arti­cle, fait avec des mois de retard (honte à moi).

Il s’ag­it là d’une relec­ture, faite avec en-tête le sou­venir des films revus assez récem­ment. Beau­coup de per­son­nes dis­ent être gênées par l’in­tro­duc­tion un peu longuette, mais qui me con­vient très bien per­son­nelle­ment. Peut-être parce que la façon de vivre des Hob­bits me plaît beau­coup, et parce qu’il me sem­ble que c’est une bonne manière de com­mencer un réc­it beau­coup plus som­bre par la suite.

C’est aus­si un des points qui m’a mar­quée, car dans l’adap­ta­tion, toute une part du réc­it est mise de côté, à savoir la pré­pa­ra­tion du départ de Fro­do, la façon dont Mer­ry et Pip­pin par­tent égale­ment. On appré­cie égale­ment le pas­sage dans la forêt de Tom Bom­badil, qui est sym­pa­thique car plus léger, mais qui au final ne sem­ble pas avoir un réel intérêt dans l’in­trigue générale. Du moins, dans mes sou­venirs. Si quelqu’un con­teste, qu’il se man­i­feste donc.
Selon le par­cours de lec­ture du chal­lenge, j’au­rais du lire Bil­bo le Hob­bit avant la com­mu­nauté. Pour une rai­son obscure, je ne l’ai pas fait et j’ai regret­té. Il s’a­gi­ra égale­ment d’une relec­ture, mais à la fin du tome 1, on rap­pelle un peu un morceau de Bil­bo, et donc ne m’a rien dit ou presque. Ca m’ap­pren­dra, tiens.
Je ne par­lerai pas du style de l’au­teur ici, puisque vous vous en doutez cer­taine­ment, si j’ai lu une pre­mière fois les livres, vu les films, et que j’en­tame une relec­ture, c’est que j’aime XD Ne reste plus qu’à entamer le tome 2 dans pas trop longtemps !
Lu dans le cadre du mid­dle earth chal­lenge, organ­isé par The Bur­sar et Remi­ran­da !

shaya

6 réflexions sur « La communauté de l’anneau, de J.R.R. Tolkien »

  1. Mais si Tom Bom­badil est très impor­tant, c’est cap­i­tal pour eux… voyons voir… attends ça va me revenir… bon ok pas vrai­ment, je pense que c’est surtout une bonne manière de faire tran­si­tion entre le joli univers gen­til de la Comté et le reste du monde bien moins sym­pa­thique.
    Et plus on relit, plus on l’aime Tom, tant il est improb­a­ble 😀

  2. Je dirai que l’u­til­ité de Tom Bom­badil est au niveau de la struc­ture du réc­it, on est encore dans l’Aven­ture rêvée, quand les Hob­bits marchent sur les traces de Bil­bo, ça fait un écho avec la scène chez Beorn dans le Hob­bit. On est dans le cadre du mer­veilleux, qui va pré­par­er la suite de la quête et l’évo­lu­tion des per­son­nages… je crois que Fro­do rechante la chan­son de Tom Bom­badil plus loin dans l’his­toire. Mais c’est vrai que par rap­port à Elrond, il est d’une util­ité lim­itée ^^

  3. Je suis assez d’ac­cord avec toi The Bur­sar… Mais pour le coup c’é­tait assez sur­prenant à la lec­ture, de com­pren­dre qu’en fait, ce pas­sage n’a aucune util­ité pour l’in­trigue ensuite, puisqu’on entend plus par­ler de lui. Enfin, c’est comme les femmes Ent ça, il faudrait que je fouine dans l’oeu­vre de Tolkien pour voir s’il y autre chose, ça m’in­trigue ^^

  4. C’est vrai que les femmes Ent, c’est pareil, ça crée une diver­sion légère, mais j’aime beau­coup la chan­son sur la quête des Ent.
    Bom­badil a une petite util­ité tout de même : c’est lui qui donne leurs armes aux Hob­bits nor­male­ment… C’est le détail que j’aime, les Hob­bits par­tent en expédi­tion sans armes.

  5. C’est vrai, qui d’autres que des Hob­bits auraient eu l’idée de par­tir désar­més ? Je suis d’ac­cord sur la chan­son des Ents elle est très belle, et puis ça dis­trait un peu, vu que le roman est tout de même très som­bre à ce moment là !

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