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L’analyste, de John Katzenbach

 

Auteur : John Katzen­bach — Tra­duc­teur : Jean-Charles Provost
Edi­teur : Pock­et — Paru­tion : 11/01/2007
Prix : 7.80€ — ISBN : 9782266143912

A propos de l’auteur

Améri­cain, John Katzen­bach a longtemps été chroniqueur judi­ci­aire pour des quo­ti­di­ens et des mag­a­zines tels que le Mia­mi Her­ald ou le Mia­mi News.
Cette expéri­ence lui a inspiré de nom­breux romans à suc­cès — notam­ment L’af­faire du lieu­tenant Scott (Press­es de la Cité, 2001) et Une his­toire de fous (Press­es de la Cité, 2005) — dont plusieurs ont été adap­tés par Hol­ly­wood comme Un été pour­ri avec Kurt Rus­sell et Juste Cause, avec Sean Con­nery. L’an­a­lyste (Press­es de la Cité, 2003) a reçu le Grand Prix de Lit­téra­ture Poli­cière en 2004. John Katzen­bach vit aujour­d’hui dans le Mass­a­chu­setts.

Ren­dez-vous sur http://www.johnkatzenbach.com/, son site offi­ciel pour en savoir plus. ( en anglais par con­tre ^^)

Résumé

Imag­inez que le jour de votre anniver­saire, vous rece­viez une let­tre. Jusque là, rien de bien méchant. Mais sup­posez un instant que cette let­tre soit ça : “Heureux 53è anniver­saire, doc­teur. Bien­v­enue au pre­mier jour de votre mort.” Flip­pant, n’est-ce pas ?

Nous sommes ici dans la peau du doc­teur Stark, psy­ch­an­a­lyste, à qui on pro­pose un jeu, décou­vrir l’i­den­tité de l’ex­pédi­teur de la let­tre, qui se fait appel­er Rumpel­stil­skin, dans les 15 jours, sous peine de mort.

Ressenti

Les polars en général, c’est pas spé­ci­fique­ment mon truc, sauf qu’on peut se tor­tur­er le cerveau. C’est ça qui est mar­rant, suiv­re le per­son­nage dans ses mal­heurs, et ten­ter avec lui de com­pren­dre ce qui se passe.

Tout d’abord, il faut savoir que ce polar-ci est en fait divisé en deux par­ties bien dis­tinctes. La pre­mière, c’est la phase où le doc­teur Stark va devoir jouer le jeu, ten­ter de devin­er qui se cache der­rière Rumpel­stiskin, et de com­pren­dre ses moti­va­tions. La sec­onde con­siste à établir avec soin un plan, qui per­me­t­tra de trou­ver qui est ce destruc­teur, et de met­tre fin à ses jours.

La trans­for­ma­tion du doc­teur Stark est vrai­ment très intéres­sante, puisqu’il va pass­er du stade de vic­time à celui de bour­reau. C’est vrai­ment un polar où le sus­pens est main­tenu jusqu’au bout, un sus­pens où à chaque instant on se demande qui est qui, ce qui se passe, et où tout est enfin dévoilé dans les dernières pages du roman.

Dif­fi­cile de vous en dire plus sans dévoil­er l’in­trigue, mais si vous aimez les polars prise de tête, vous aimerez L’an­a­lyste.

shaya

2 réflexions sur « L’analyste, de John Katzenbach »

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