Accueil » Actus » Bilan mensuel #47 Juin 2024

Bilan mensuel #47 Juin 2024

Juin, le mois de l’été, et chez moi de tous les dangers. La vie professionnelle comme personnelle a été mouvementée, et je ne vous recommande pas la rééducation pour des problèmes de tendons, ça fait fichtrement mal ! Résultat des courses : à part la PAL qui a implosé, ce mois-ci n’a pas été bien rempli….

Côté blog

Une seule chronique ce mois-ci, c’est raté pour le rattrapage !

Côté lecture

La machine est en panne, remboursez !

  • La guerre des marionnettes d’Adam-Troy Castro : c’était très bien, je ne sais pas encore si j’en ferai une chronique ou pas
  • La maison des soleils d’Alastair Reynolds : en cours

Côté Ecrans

J’avais prévu de profiter de l’arrêt des travaux d’une de mes lignes pour aller au cinéma ce mois-ci, mais c’était sans compter d’autres travaux qui coupent ma ligne littéralement tous les weekends, pas merci la SNCF. Heureusement j’ai tout de même pu voir le très beau nouvel opus de Mad Max, Furiosa. Niveau séries, rien de bien neuf, je n’ai toujours pas rattrapé Mrs Maisel mais ça ne devrait plus tarder.

Côté Pal

Bon alors là, c’est craquage. Mais c’est pour la bonne cause, une bonne nouvelle professionnelle est tombée, et ma wish-list est toujours bien pleine !

  • Widjigo d’Estelle Faye

En 1793, Jean Verdier, un jeune lieutenant de la République, est envoyé avec son régiment sur les côtes de la Basse-Bretagne pour capturer un noble, Justinien de Salers, qui se cache dans une vieille forteresse en bord de mer. Alors que la troupe tente de rejoindre le donjon en ruines ceint par les eaux, un coup de feu retentit et une voix intime à Jean d’entrer. À l’intérieur, le vieux noble passe un marché avec le jeune offi cier : il acceptera de le suivre quand il lui aura conté son histoire. Celle d’un naufrage sur l’île de Terre-Neuve, quarante ans plus tôt. Celle d’une lutte pour la survie dans une nature hostile et froide, où la solitude et la faim peuvent engendrer des monstres…

  • La maison aux pattes de poulet de GennaRose Nethercott

Séparés depuis l’enfance, Bellatine et Isaac Yaga pensaient ne jamais se revoir. Mais lorsque tous deux apprennent qu’ils vont hériter de leur grand-mère ukrainienne, frère et sœur acceptent de se rencontrer. Ils découvrent alors que leur legs n’est ni une propriété ni de l’argent, mais quelque chose de bien étrange : une maison intelligente juchée sur des pattes de poulet.

Arrivée de Kyiv, foyer ancestral de la famille Yaga, l’isba est traquée par une entité maléfique : Ombrelongue, qui ne reculera devant aucun acte de violence pour détruire l’héritage de Baba Yaga

  • La porteuse de mort de Stark Holborn

Ancienne médecin militaire, elle répond au nom de Dix Low, car elle a passé dix ans en prison. Depuis la fin de la guerre, elle survit sur Factis, une lune pénitentiaire désertique qu’on dit hantée par une espèce extraterrestre énigmatique et invisible : les Si. Parce qu’elle entretient un rapport particulier, intime, avec les Si, on la surnomme la Porteuse de mort. Une nuit, Dix Low sauve la seule survivante de l’épave d’un vaisseau spatial qui vient d’être abattu. Première surprise : Gabriella Ortiz n’est pas une adolescente ordinaire. Issue d’un programme de génétique militaire, elle est générale, rien que ça. Plus surprenant encore : le crash n’était pas une attaque opportune, mais une tentative d’assassinat ciblé.Pour essayer de quitter Factis et échapper à leurs nombreux poursuivants, les deux femmes, issues de camps adverses, mettent de côté leur inimitié et concluent un pacte… qui pourrait bien voler en éclats si Ortiz découvre le rôle véritable que la Porteuse de mort a joué durant la guerre.

  • La maison des soleils d’Alastair Reynolds

Ils sont la Lignée Gentiane, la Maison des Fleurs.

Ils sont mille. Mille clones âgés de six millions d’années, tous issus d’Abigail Gentian et d’une époque où l’humanité n’était encore qu’à l’orée de l’ère stellaire. Depuis tout ce temps, ces fragments éparpillés parcourent la galaxie, spectateurs de l’aventure humaine à travers l’espace, là où empires et conquêtes fabuleuses se fracassent sur la noria du temps. Tous les deux cent mille ans, après un tour complet de la galaxie, les membres de la Lignée se réunissent pour échanger souvenirs et expériences. C’est la Millième Nuit, une fête sans pareille.

Or, pour cette trente-deuxième réunion, Campion et Purslane sont en retard. Un détail ? Pas vraiment. Car dudit retard pourrait bien dépendre le devenir de l’ensemble de la Voie lactée, et peut-être même bien au-delà…

  • Le démon de maître Prosper de K.J Parker

« Je crois que vous n’allez pas beaucoup m’aimer. Je fais des choses terribles. À mes ennemis, à mes alliés, à moi-même. Dans la manœuvre, je sauve bon nombre d’inconnus (entre cinq et dix par semaine) du pire sort qui puisse frapper un être humain. J’aimerais dire que je me comporte ainsi parce que je fais partie des gentils, mais vous me perceriez aussitôt à jour. »

 

Hourra ! La grande-duchesse d’Essen attend un fils. Quel dommage que le petit soit déjà possédé par un démon.

Un humour aussi acerbe que son narrateur, un génie à la Léonard de Vinci et Machiavel, un exorciste sans cœur : tout ce qu’il faut pour un roman aussi malin que jouissif.

  • La marche funèbre des marionnettes d’Adam-Troy Castro

Futur lointain. Planète Vlhan.
Ils sont tous là. Ambassadeurs et représentants de la plupart des mondes et intelligences connus. Sur leur estrade, serrés les uns contre les autres, le regard tourné vers une seule direction, tendus. Car ceux qu’ils observent, ces êtres impénétrables, colossaux, que d’aucuns nomment les Marionnettes, s’apprêtent à se livrer au plus singulier des rituels : le Ballet, une communion frénétique de plusieurs jours à l’issue de laquelle ils mourront — par dizaines de milliers. Nul ne comprend les motivations de ce sacrifice annuel ultime qui fascine toute la Galaxie. À commencer par Alex Gordon, exolinguiste au service de la Confédération terrienne, qui va y assister pour la troisième fois. Mais alors que les Marionnettes, par myriades, agitent leurs fouets immenses, Alex distingue une silhouette inattendue et résolument non extraterrestre au sein de la mêlée : une jeune femme appareillée de façon étrange qui semble sur le point de se joindre à la danse alien. Cette femme n’a rien à faire là, et elle se prépare à mourir. À moins que…

  • Kid Wolf and Kraken boy de Sam Miller

New York. Fin des années 1920.

L’un est le Kid Wolf, jeune boxeur talentueux qui rêve de soulever la ceinture de champion. L’autre est le Kraken Boy, le plus doué des tatoueurs, un grand type nonchalant dont l’art et l’encre font merveille — littéralement. Mais les temps sont durs dans le Lower East Side de l’entre-deux-guerres gangréné par la mafia juive. D’autant que la Grande Dépression pointe son nez, et avec elle les mouvements sociaux qui se radicalisent et les briseurs de grève aux mains des syndicats qui font régner la terreur… Et puis il y a Hinky Friedman, née Rivkah Heinckmann, alias Rebecca-la-Hink, la Reine des Gangsters. Et Hinky a une vision, l’ambition d’un autre monde — meilleur, qui sait ? Or pour cela elle a un plan, un plan pour Kid Wolf et Kraken Boy, un plan pour tout changer. Mais ce que n’a pas prévu Hinky, c’est l’amour. Un amour impossible, interdit, un amour qui, lui, pourrait véritablement remodeler la face du monde…

  • Hors série UHL 2024

Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…

C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.

Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.

Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.

Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !

shaya

Un commentaire sur “Bilan mensuel #47 Juin 2024

  1. J’ai commencé à penser « oh, deux lectures ça peut encore aller, ça dépend du nombre d’achats »… et puis j’ai continué à lire. Oups.
    Comment tu compares « Furiosa » à « Fury Road » ? Mieux, moins bien, pareil ?

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Revenir en haut de page