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Sans parler du chien, de Connie Willis

 

Auteur : Connie Willis – Traducteur : Jean-Pierre Pugi

Editeur : J’ai Lu SF – Parution : 5 février 2003 (version poche)
Prix : 8 € – ISBN : 9782290324912

A propos de l’auteur

Conteuse hors pair, Connie Willis collectionne les récompenses littéraires depuis ses débuts en littérature, à l’aube des années 1980.
On lui doit ainsi Aux confins de l’étrange (prix Locus du meilleur recueil de nouvelles 1994) ou Le Grand Livre (prix Nebula 1992, Hugo et Locus du meilleur roman de science-fiction 1993), dont elle reprend ici certains personnages.

Résumé

Tout ce que nous savons au début du récit, c’est que nous suivons un certain Ned Henry dans le passé, en Angleterre, et qu’il doit récupérer la potiche de l’évêque, dans la cathédrale de Coventry. En réalité, notre ami est un historien en voyage temporel. Sympathique, n’est-ce pas ? L’homme est ensuite chargé de réparer une incongruité temporelle créée par une de ses collègues, et nous voilà donc plongés dans l’Angleterre de 1888 !

Ressenti

Si vous vouliez un livre super carré dès le début, vous êtes mal barrés avec ce livre. En effet au début du récit, on ne comprend juste rien du tout. Ned, le narrateur, est en fait déphasé, et donc totalement confus. Nous voilà donc projetés dans le passé, avec seulement la moitié des informations et surtout des instructions XD

Tout simplement, c’est à mourir de rire. Oui, on est perdus au début, mais l’auteur prend quand même le temps un peu après d’expliquer un peu au lecteur ce qui se passe, et on comprend un peu mieux. Avant d’être aussitôt embarqués dans d’autres chapitres plein de rebondissements et assez loufoques ^^

Les personnages sont tous très super, en particulier « Princesse Juuujuuu » comme le dirait si bien la chère Tossie, qui est d’ailleurs horripilante au possible XD Mais chacun a son caractère, ses particularités, et c’est juste excellent ^^

On adore aussi toutes les petites références que l’auteur lance dans le récit, notamment sur les récits policiers et leurs ficelles, et sur les auteurs de l’époque victorienne ^^ Et trouver le mystérieux monsieur C, quelle affaire ! On dirait que mine de rien, notre narrateur n’a pas de chance avec ses missions, puisqu’il semble toujours être interrompu dans ce qu’il fait ou déranger ^^ On peut le plaindre je pense.

Le petit point noir pour moi, ce sont les passages sur les paradoxes temporels. J’avoue qu’au bout d’un moment, ça m’échappe un peu, et je m’embrouille les pinceaux ^^

En tout cas, si vous cherchez un roman pour mourir de rire en fantasy, vous avez trouvé ^^ Merci au cercle d’Atuan et à Vert pour cette découverte !

Vous pouvez aller voir leurs critiques ici :
Spocky
à venir

shaya

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