Le mois de mars aurait dû être un peu plus rempli en articles. Malheureusement, la fatigue est passée par là, et il faudra donc se contenter de ça !
Côté blog
- On avance tout doucement sur les autrices primées en imaginaire jamais lues avec La cité des Ombres de Pat Murphy
- Avec beaucoup beaucoup de retard, La ronde des esprits de Nalo Hopkinson
Côté lecture
- L’arche de Darwin de James Morrow : toujours en cours, et même en pause.
- Anais Nin la mer des mensonges : Que vous dire à part, c’est une très belle BD, lisez-là ! On découvre la vie d’Anaïs Nin, c’est intéressant et c’est très très beau ! Prochaine étape : lire une de ses oeuvres !
- Emissaire des morts d’Adam-Troy Castro : chronique à venir
- La dernière emperox de John Scalzi : chronique à venir
- Une joie féroce de Sorj Chalandon : De la littérature contemporaine ! Sorj Chalandon nous raconte l’histoire de Jeanne, libraire cancéreuse, qui rencontre 4 autres femmes elles aussi atteintes du cancer. C’est l’histoire de leur lutte, quelque peu gâchée à mon sens par une intrigue mi-polar mi-humouristique sortie de nulle part. Le roman reste intéressant, mais pas exceptionnel non plus.
Côté PAL
Un mois sage en achats, la PAL dit OUF !
- Le coût de la virilité de Lucille Peytavin
En France, les hommes sont responsables de l’écrasante majorité des comportements asociaux : ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence.
- Mon évasion, Benoite Groult
Tant que je saurai où demeurer, tant que je serai accueillie en arrivant par le sourire de mes jardins, tant que j’éprouverai si fort le goût de revenir et non celui de fuir ; tant que la terre n’aura perdu aucune de ses couleurs, ni la mer de sa chère amertume, ni les hommes de leur étrangeté, ni l’écriture et la lecture de leurs attraits ; tant que mes enfants me ramèneront aux racines de l’amour, la mort ne pourra que se taire. Moi vivante, elle ne parviendra pas à m’atteindre. B. G. Benoîte Groult publie enfin son autobiographie : d’une enfance privilégiée dans les années 1930 à l’engagement féministe, d’un mariage bourgeois au contrat de liberté, l’auteure de La Touche étoile raconte ici sa traversée de la vie comme une perpétuelle évasion.
La BD sur Anaïs Nin ne m’attirait pas trop, mais à force de voir des avis enthousiastes, dont le tien donc, allez, je la mets sur ma liste à lire.
Ouiiii, fais donc ! Tu nous diras ce que tu en as pensé 😉
Ce n’est pas bien L’arche de Darwin ?
J’ai la BD Anaïs Nin dans la PàL ^^
Bonnes lectures d’avril 🙂
Pour L’arche de Darwin, c’est sympa mais j’ai du mal à accrocher vraiment. Et comme c’est divisé en plusieurs parties, j’ai profité de la fin de l’une d’entre elles pour le mettre en pause, je verrai plus tard si je continue ou pas ^^
Très intéressée par Le coût de la virilité que je découvre ici…
Cool ! Je ne l’ai pas encore lu mais je pense essayer assez rapidement 🙂
Benoîte!!!! Franchement, elle a le prénom, elle a le nom, elle a le staïle!! Trop hâte de la lire. Je me disais tout à l’heure que je suis tellement enthousiaste que je serai certainement déçue.
Je vais probablement finir par venir à la BD sur Anaïs Nin.
Sorj Chalandon, j’ai lu ses deux bouquins sur l’Irlande, et j’en garde quand même le souvenir d’une littératire vachement nombriliste…
Mais non t’inquiète, on aimera, croisons les doigts ! C’était mon premier Sorj Chalandon, et pour le coup je ne sais pas si je vais retenter, encore plus si c’est nombriliste…
Alors je précise ma pensée car je réalise que mon « nombriliste » peut prêter à confusion: je ne voulais pas dire par là qu’il parle de lui et de sa petite personne, mais que c’est un type de littérature qui se regarde écrire, qui est profondément consciente de sa propre qualité et de sa grande finesse d’esprit…
Merci pour la précision ! Je découvrais l’auteur par ce roman, j’avoue que je n’ai pas spécialement envie de continuer ma découverte.
Je suis contente que la BD sur Anais Nin t’ait plu ! C’est vrai que les dessins sont superbes 🙂
Je te souhaite une bon mois de lecture pour Avril, j’avoue que les entrées dans ta PAL m’intriguent. J’aime beaucoup découvrir tes lectures, il y a toujours des livres qui m’interpellent 😉
Merci, et tu m’en vois ravie !
C’est un petit mois bien rempli quand même ^^
C’est vrai !