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Rebecca, de Daphné du Maurier

 

Auteur : Daph­né du Mau­ri­er — Tra­duc­trice : Denise Van Mop­pès
Edi­teur : Le livre de Poche — Paru­tion : 2007
ISBN : 9782253006732 — Prix : 6 €

A propos de l’auteur

Dame Daphne du Mau­ri­er (par­fois fran­cisé en Daph­né) est une roman­cière bri­tan­nique, née le 13 mai 1907 à Lon­dres, décédée le 19 avril 1989 à Par en Cornouailles. Elle est la fille de l’ac­teur Ger­ald du Mau­ri­er et la petite-fille de l’écrivain et dessi­na­teur George du Mau­ri­er, ami de Hen­ry James et auteur notam­ment de Tril­by. Elle pub­lie son pre­mier roman, The Lov­ing Spir­it (La Chaîne d’amour), en 1931 et épouse l’an­née suiv­ante le général de divi­sion Fred­er­ick Brown­ing. Trois de ses romans ou nou­velles furent portés à l’écran par Alfred Hitch­cock, L’Auberge de la Jamaïque (1936) en 1939, Rebec­ca (1938) 1940, et Les oiseaux (1952) en 1963.

Résumé

Dans la mag­nifique rési­dence de Maxime de Win­ter, sa nou­velle épousée, jeune fille timide, vient d’ar­riv­er. Mais ici, règne encore le sou­venir vivace de Rebec­ca, pre­mière épouse de Max­im, morte noyée…

Ressenti

Admet­tons-le, sans la col­lège de boulot qui m’a offert ce livre lors de mon départ, je n’au­rais prob­a­ble­ment jamais lu ce roman, les aven­tures domes­tiques d’une jeune fille au début du XXème siè­cle ne me pas­sion­nant pas.

Pour­tant, ce roman est bien plus que ça. Nous suiv­ons la nar­ra­trice, dont nous ne saurons jamais le prénom, qui vient de ren­con­tr­er et d’épouser Max­im de Win­ter. Cette nar­ra­trice est jeune, peu sûre d’elle, timide, et n’est pas pré­parée à faire face à une maison­née, d’au­tant plus lorsqu’il s’y trou­ve encore le fan­tôme de Rebec­ca, épouse exem­plaire à pre­mière vue.

Très vite, on se retrou­ve plongé dans une ambiance angois­sante, où on ne peut que se ques­tion­ner en sen­tant le secret qui cou­vre, et on pour­suit ce roman en atter­ris­sant dans une sorte d’en­quête pour com­pren­dre.

Avec un style très flu­ide, l’au­teur arrive très bien à immerg­er le lecteur dans son atmo­sphère, et croyez-moi, dif­fi­cile de s’en détach­er avant de con­naître le fin mot de l’his­toire…

shaya

3 réflexions sur « Rebecca, de Daphné du Maurier »

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