Séries
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NCIS, saison 13
Le Naval Criminal Investigative Service (NCIS) est une agence fédérale américaine rattachée aux corps armés de la Navy et des Marines, dont les membres sont des civils. Il est chargé de faire respecter la loi en leur sein, d’enquêter — indépendamment de la hiérarchie militaire— et de résoudre des crimes en relation avec la marine américaine à partir de leur base d’opération à Washington, d’effectuer du contre-espionnage, de la lutte anti-terroriste ou anti-drogue aux frontières. Une MCRT (Major Case Response Team : Équipe d’intervenants en cas de forces majeures) dirigée par l’agent spécial Leroy Jethro Gibbs enquête sur les crimes.
Cette saison s’est avérée très intéressante. On a une belle évolution du personnage de Gibbs, ainsi que de McGee, qu’on découvre de plus en plus sûr de lui à chaque saison. Je résumerai mon avis en disant que cette saison était à la hauteur, mais que j’attends tout de même de voir la suite, en espérant que NCIS ne tombe pas dans le piège de la saison de trop. Pour plus de détails, le spoiler est là !
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Castle, saison 8
Richard Castle, un célèbre écrivain de romans policiers, en a assez de narrer les exploits de son héros, Derrick Storm. À la surprise générale, il décide de le tuer dans son tout dernier livre. C’est lors de la soirée organisée par son éditeur pour la sortie de ce nouveau roman qu’il est contacté par le lieutenant de police Kate Beckett. Celle-ci, lectrice assidue de la série, est chargée d’enquêter sur plusieurs meurtres qui copient ceux imaginés par Castle dans ses livres.
Oui, je sais, j’avais dit que c’était un abandon. Mais c’était avant d’apprendre le départ d’un des principaux acteurs de la série, et que, finalement, soit annulée la saison 9. Pour 4 épisodes, il aurait été dommage de ne pas finir la série. Globalement, cette saison avait très bien commencé. J’ai adoré que Beckett et Castle connaissent quelques difficultés, et la nouvelle intrigue à laquelle Becket était confrontée. Cependant, la série a connu un gros coup de mou en milieu/fin de saison : le fil rouge de cette saison n’était plus là qu’en filigrane, et c’est dommage. La série retombait dans ses travers, avec des épisodes on ne peut plus prévisibles. Je vous mets mon avis sur la fin de saison en spoiler, mais pour ceux qui ne veulent pas le lire : globalement, cette saison m’a déçue. Il était temps que Castle s’arrête même si la fin aurait pu être meilleure.
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The Politician’s Husband, mini-série
Le ministre du Cabinet Aiden Hoynes et sa femme Freya Gardner forment un couple prestigieux dans la sphère politique britannique. Hoynes démissionne de ses fonctions dans une ambitieuse tentative d’obtenir un meilleur poste, mais il est trahi par son tout aussi ambitieux ami Bruce Babbish et par le Chief Whip, Marcus Brock. Freya, qui avait temporairement mis un frein à sa carrière pour s’occuper de leurs enfants, remplace Hoynes au sein du Cabinet et elle est contrainte de faire le choix de soutenir publiquement son mari ou de poursuivre ses ambitions politiques en critiquant ses choix.
Tout d’abord il faut que je remercie Vert, qui a en parlé récemment, et grâce à qui j’ai été regarder cette mini-série, qui ne compte que trois épisodes. David Tennant est ici très loin de Doctor Who, puisqu’il incarne un politician déchu. La série est dure : on y voit clairement un couple de politique dans une situation complexe, avec un fils autiste pour ne rien arranger. C’est très intéressant de voir un peu mieux les rouages de la politique, et surtout l’importance de l’apparence. J’aime beaucoup le traitement du fils et la fin de la série, pas joyeuse, mais terriblement pragmatique.
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The A Word, saison 1
La famille Hughes travaille, s’aime, se dispute comme n’importe quelle autre famille, jusqu’au jour où leur plus jeune fils est diagnostiqué comme étant autiste.
Cette série m’a attirée dès que j’ai vu son synopsis. L’autisme est un thème qui m’intéresse beaucoup depuis de nombreuses années. J’avais aussi quelques appréhensions à visionner cette petite série. Il y a quelques années, je me souviens d’avoir entraperçu un documentaire télévisé sur l’autisme, et notamment, d’avoir vu la crise de colère d’un autiste, et surtout, de la comprendre. C’est peut-être stupide, mais cette envie de hurler est tellement présente. Le monde extérieur ne comprend pas, puisqu’il y a cette barrière entre le monde et nous, ce mur si difficile à abattre et à franchir. Ici le traitement de l’autisme est très bien fait. On y verra surtout les réactions de l’entourage et les tentatives désespérées pour s’occuper de cet enfant qui se sert de la musique comme d’une bulle protectrice. A ce sujet, la bande-son de la série est superbe 🙂 Une très belle série, qui j’espère sera prolongée, à découvrir.
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Galavant, saison 1, épisodes à 4
La série suit les aventures de Galavant, un héros fringant qui est déterminé à récupérer sa réputation et son « Ils vécurent heureux pour toujours » en allant à la poursuite du méchant roi Richard qui l’a ruiné au moment où il a volé son véritable amour, Madalena. Les épisodes sont une chronique des aventures de Galavant (et des revers qui vont avec) à travers des numéros musicaux composés et écrit par Menken et Slater.
Je crois que je vais pouvoir nommer Vert comme fournisseur officiel de séries, puisqu’encore une fois, c’est sur son blog que j’ai découvert celle-ci. Le côté comédie musicale ne m’attirait pas des masses à la base, mais un épisode de 20 minutes ne coûtant rien, j’ai testé (et adoré) cette petite série. On est bien évidemment dans le cliché du preux chevalier et de son amante, ainsi que du méchant roi, mais c’est fait avec suffisamment d’humour pour passer comme une lettre à la poste, et des rebondissements sont à prévoir. Les personnages secondaires sont également à mourir de rire, mention spéciale pour Sid, l’écuyer de Galavant. Une série à mourir de rire à découvrir !
Au programme le mois prochain…. La suite de Galavant, The Path, Our Girl (si j’arrive à mettre la main dessus), et probablement Gotham. (Les séries ayant une saison en cours de diffusion attendront la fin de saison).
Films
Ce mois-ci n’a pas été fructueux en films. La faute à un petit souci de carte de cinéma égarée.
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Batman vs Superman, l’Aube de la Justice
Craignant que Superman n’abuse de sa toute-puissance, le Chevalier noir décide de l’affronter : le monde a-t-il davantage besoin d’un super-héros aux pouvoirs sans limite ou d’un justicier à la force redoutable mais d’origine humaine ? Pendant ce temps-là, une terrible menace se profile à l’horizon…
Je n’attendais pas grand chose de ce film, bien que j’ai apprécié les précédents films Batman. Et pourtant, ce nouvel opus a été le rappel que j’aime décidément bien cet univers, principalement celui de Batman. Contrairement à l’univers Avengers, les repères chronologiques sont beaucoup plus aisés pour moi, et me permettent de moins me « perdre » dans le film. Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard, l’univers et le film dans sa globalité m’ont fait passer un bon moment.
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Captain America : Civil War
À la suite des événements en Sokovie, Steve Rogers forme une nouvelle équipe de super-héros et après un énième incident international, l’ONU fait adopter les Accords de Sokovie 2 avec l’aide de Tony Stark et du Général Ross. Ces accords divisent les Avengers. Certains, menés par Captain America, veulent défendre leur liberté et voient ces accords comme une forme de discrimination et une menace pour eux. Les autres, comme Iron Man, pensent que ces accords sont un garde-fou et une nécessité pour éviter les dérives de héros possédant des pouvoirs extrêmement puissants et dangereux.
J’attendais avec une certaine impatience ce film, pour avoir entendu du bien des comics du même nom. J’en suis malheureusement ressortie bien peu convaincue. Le scénario est un peu le même que pour Batman, une guéguerre entre supers-héros. On a de belles scènes d’affrontement, des personnages secondaires intéressants (le reboot de SpiderMan m’a beaucoup plu, tout comme l’apparition d’Ant-Man), mais je n’ai pas pu réprimer une très forte envie de prendre Iron Man pour taper sur Captain America. Tant pis pour ce film.
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Démolition
Banquier d’affaires ayant brillamment réussi, Davis a perdu le goût de vivre depuis que sa femme est décédée dans un tragique accident de voiture. Malgré son beau-père qui le pousse à se ressaisir, il sombre de plus en plus. Un jour, il envoie une lettre de réclamation à une société de distributeurs automatiques, puis lui adresse d’autres courriers où il livre des souvenirs personnels. Jusqu’au moment où sa correspondance attire l’attention de Karen, la responsable du service clients. Peu à peu, une relation se noue entre eux. Entre Karen et son fils de 15 ans, Davis se reconstruit, commençant d’abord par faire table rase de sa vie passée …
D’après le synopsis, ce film avait tout pour me plaire. D’après le visionnage, ce film n’avait presque rien pour me plaire. Ce film sur le deuil est très étrange. On fait face à un personnage qui vient de perdre sa femme, avec qui il formait un couple aimant, et qui semble après son décès déconnecté de ses émotions. Cet état se poursuit dans le film, sans qu’une explication soit fournie. Un autre problème vient du personnage de Karen et de son fils, dont on se demande bien ce qu’ils font là. La conclusion du film est tout aussi étrange, et en fait définitivement un film qui n’était pas pour moi.
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X-Men Apocalypse
Depuis les origines de la civilisation, Apocalypse, le tout premier mutant, a absorbé de nombreux pouvoirs, devenant à la fois immortel et invincible, adoré comme un dieu. Se réveillant après un sommeil de plusieurs milliers d’années et désillusionné par le monde qu’il découvre, il réunit de puissants mutants dont Magneto pour nettoyer l’humanité et régner sur un nouvel ordre. Raven et Professeur X vont joindre leurs forces pour affronter leur plus dangereux ennemi et sauver l’humanité d’une destruction totale.
Encore un film de super-héros, que j’attendais avec une grande impatience. En effet, l’univers et l’équipe X-Men me plaisent beaucoup depuis longtemps. Nous sommes dans les années 80, et les X-Men font face à un Super Vilain, Apocalypse. Le personnage est plutôt intéressant et bien joué, en tant que méchant intimement persuadé d’être un Dieu. Scott Summers fait ses premiers pas à l’école du Professeur Xavier, tout comme Jean Grey, qui peine à maîtriser ses pouvoirs. J’ai aimé découvrir toute une palette de super-héros sous un autre jour, bien loin de l’assurance qu’ils peuvent avoir par la suite. Bref, un film que j’ai adoré. Vivement d’autres opus avec les X-Men.
Hihihi toi aussi tu as succombé à Galavant !
Faut encore que je rattrape X-men moi…
Ouiiii, ça me fait trop rire comme petite série ! Tu as encore le temps pour X-Men, c’est que sa deuxième semaine de sortie :p
He bien he bien, ça en fait des trucs vus !
Je t’avais jamais dit que je suis sériophile ? :p En règle générale, l’hiver j’en suis 4 ou 5 chaque semaine, et depuis quelques temps je rajoute à ça les mini-séries qui se regardent vite ^^