Accueil » Actus » Sur les écrans #8

Sur les écrans #8

(Toutes mes excus­es par avance pour la longueur de mon arti­cle. Ca m’ap­pren­dra à not­er dans un coin ce que je vois et à réalis­er tar­di­ve­ment que la liste est dan­gereuse­ment longue !)

Films

  • Le 15h17 pour Paris

Dans la soirée du 21 août 2015, le monde, sidéré, apprend qu’un atten­tat a été déjoué à bord du Thalys 9364 à des­ti­na­tion de Paris. Une attaque évitée de justesse grâce à trois Améri­cains qui voy­ageaient en Europe. Le film s’at­tache à leur par­cours et revient sur la série d’événe­ments improb­a­bles qui les ont amenés à se retrou­ver à bord de ce train. Tout au long de cette ter­ri­ble épreuve, leur ami­tié est restée inébran­lable. Une ami­tié d’une force inouïe qui leur a per­mis de sauver la vie des 500 pas­sagers …

Le 15h17 pour Paris

J’avais eu aupar­a­vant tout un tas d’aver­tisse­ment et de chroniques plutôt néga­tives sur ce film mais j’ai quand même voulu m’en faire ma pro­pre opin­ion, et ce n’est pas bien reluisant. On retrace l par­cours de nos trois améri­cains, un par­cours au final assez banal de ces trois amis. Il n’est pas très intéres­sant à mon sens de suiv­re égale­ment leur voy­age où on com­prend com­ment ils vont se retrou­ver dans ce train. Le film n’est pas pas­sion­nant et bien que l’at­ten­tat en lui-même soit impres­sion­nant, c’est tout sim­ple­ment logique. Une décep­tion prévis­i­ble pour moi.

  • The shape of water

Elisa Espos­i­to est muette. Elle tra­vaille dans un lab­o­ra­toire gou­verne­men­tal ultra­se­cret comme concierge. Elle mène une exis­tence rou­tinière et sans his­toire mais sa vie bas­cule à jamais lorsqu’elle et sa col­lègue Zel­da décou­vrent une expéri­ence encore plus secrète que les autres : elle décou­vre l’exis­tence d’une créa­ture amphi­bie cachée dans l’un des bassins de l’étab­lisse­ment.

The shape of water

Voir ce film fut une grande hési­ta­tion. Le thème fan­tas­tique et le réal­isa­teur m’in­triguaient, les retours sur une intrigue amoureuse très présente me rebu­taient. Finale­ment, l’his­toire du film en elle-même n’est pas pas­sion­nante : on ne com­pren­dra pas vrai­ment les orig­ines de la créa­ture, le pourquoi de cette insti­tu­tion, et toutes ces autres petites choses qui me démangeaient. On a égale­ment une his­toire d’amour forte et un peu étrange, sans paroles, puisqu’Elisa, per­son­nage prin­ci­pal, est muette, tout comme la créa­ture, un peu trop présente à mon goût, mais ça dépend vrai­ment des goûts de chacun.e. Mal­gré ces défauts, le film est empreint d’une atmo­sphère très par­ti­c­ulière et intriguante, et d’un très bel esthétisme, et cela suf­fit à faire pass­er un bon moment, bien que le film soit un poil longuet.

  • Jusqu’à la garde

Le cou­ple Besson divorce. Pour pro­téger son fils d’un père qu’elle accuse de vio­lences, Miri­am en demande la garde exclu­sive. La juge en charge du dossier accorde une garde partagée au père qu’elle con­sid­ère bafoué. Pris en otage entre ses par­ents, Julien va tout faire pour empêch­er que le pire n’arrive.

Jusqu'à la garde

Il est assez rare que je vois des films français, mais, allez savoir pourquoi, quelque chose dans la bande-annonce m’a con­va­in­cu de voir celui-ci. Nous pour­rions croire que nous allons assis­ter à une banale bataille pour la garde des enfants entre deux époux qui se déchirent. Nous pour­rions croire que l’an­i­mosité du fils envers son père est seule­ment dû à la dif­fi­culté d’un divorce. Nous pour­rions aus­si croire que la mère veut injuste­ment écarter son ex-mari de la vie de son fils, qu’elle exagère. Et puis, au fil du film, quelques élé­ments lais­sent plan­er le doute. Le père serait-il un peu colérique ? En même temps, ça se peut se com­pren­dre dans une sit­u­a­tion pareille. Ou y a t’il plus ? Jusqu’à la garde est un film qui vous met­tra pro­fondé­ment mal à l’aise, prin­ci­pale­ment à cause des excel­lents jeux d’ac­teurs de Léa Druck­er (la mère), Denis Méno­chet, le père, et Thomas Gio­r­ia, qui incar­ne leur fils. C’est réelle­ment un film choc sur les vio­lences con­ju­gales, dif­fi­cile à regarder, mais excel­lent.

  • Avengers: Infinity War

Les Avengers et leurs alliés devront être prêts à tout sac­ri­fi­er pour neu­tralis­er le red­outable Thanos avant que son attaque éclair ne con­duise à la destruc­tion com­plète de l’univers.

Avengers Infinity War

Etant don­né mon opin­ion du Mar­vel, Thor Rag­narok, je n’é­tais pas bien opti­miste pour Avengers Infin­i­ty War. Et au final, grâce à un enne­mi très intéres­sant en la per­son­ne de Thanos, ce film s’est avéré plutôt sym­pa­thique. Il a bien évidem­ment des défauts, à com­mencer par le nom­bre de super-héros présents. Alors, c’est bien gen­til de vouloir faire plaisir aux fans en nous les mon­trant tous ou presque, mais hon­nête­ment, si pour les voir très briève­ment, mal joués, sous-estimés, ça ne valait pas le coup, mer­ci bien. Du coup, ce dernier Avengers est en demi-teinte pour ma part.

  • Stronger

En ce 15 avril 2013, Jeff Bau­man est venu encour­ager Erin qui court le marathon : il espère bien recon­quérir celle qui fut sa petite amie. Il l’attend près de la ligne d’arrivée quand une bombe explose. Il va per­dre ses deux jambes dans l’attentat. Il va alors devoir endur­er des mois de lutte pour espér­er une guéri­son physique, psy­chologique et émo­tion­nelle.

Stronger

Stronger, c’est avant tout l’his­toire de Jeff, un mec banal, issu de la mid­dle-class améri­caine, avec une mère alcoolique, des amis un peu chau­vins et pour la peine de mort, et d’Erin, sa petite amie (ou ex petite amie, tout dépend des moments du film). Jeff va se retrou­ver au mau­vais moment au mau­vais endroit, et y laiss­er ses jambes. Mais Jeff, c’est aus­si un des hommes qui a iden­ti­fié un des ter­ror­istes, et qui devien­dra mal­gré lui un héros pour les habi­tants de Boston. Stronger réus­sit très bien à nous mon­tr­er les dif­fi­cultés du stress post-trau­ma­tique et du hand­i­cap, quand le monde vous con­sid­ère comme un héros et un “homme fort”, sans tomber dans le pathos. Les deux acteurs prin­ci­paux, Jake Gyl­len­haal et Tatiana Maslany, parvi­en­nent mer­veilleuse­ment à nous mon­tr­er cette souf­france et ses dif­fi­cultés. Un très beau film que je vous con­seille donc !

Séries

  • Jessica Jones, saison 2

La super-héroïne Jes­si­ca Jones s’est recon­ver­tie en détec­tive privé. Han­tée par un événe­ment trau­ma­ti­sant de son passé, elle se cache à New York et se con­tente de sor­dides affaires d’adultère. Une nou­velle enquête va faire resur­gir de vieux démons…

Jessica Jones

J’avais déjà adoré la pre­mière sai­son de Jes­si­ca Jones, non sans que David Ten­nant dans le rôle du mer­veilleux Kil­grave y soit pour quelque chose. Du coup, je red­outais son absence pour cette nou­velle sai­son. Fort heureuse­ment, cette nou­velle sai­son m’a très vite détrompée : Jes­si­ca Jones est tou­jours aus­si for­mi­da­ble dans son per­son­nage tor­turé, et l’his­toire de Jeri Hog­a­rth s’avère égale­ment pas­sion­nante à décou­vrir. Et puis surtout, cette sai­son abor­de d’autres thèmes que la pre­mière, et notre “big boss de sai­son” est tout en nuances, ce qui est très appré­cia­ble. Un beau rap­pel que le monde n’est pas tout noir, ou tout blanc. Bien sûr, il y a aus­si quelques décep­tions dans cette sai­son 2, et la pre­mière en est l’in­trigue de Trish Walk­er, qui tourne un peu en rond.

  • Orange is the new black, saison 5

Piper Chap­man est incar­cérée dans une prison de sécu­rité min­i­male pour quinze mois car elle a trans­porté une valise d’argent issu du traf­ic de drogue, dix ans plus tôt, pour son amante d’alors, Alex Vause. Elle tente de se faire à la vie en prison, entre le clanisme, les réseaux et les fortes per­son­nal­ités des autres détenues.

Orange is the new black

Les ami.e.s, je vous invite à cli­quer sur la balise spoil­ers si vous voulez con­naître mon avis détail­lé de cette nou­velle sai­son. Sinon, sachez que c’é­tait sym­pa­thique, pas la meilleure sai­son du monde, mais chou­ette quand même !

Spoil­er
Donc, par­lons de cette nou­velle sai­son. La qua­trième nous (ok, moi surtout) lais­sait au dés­espoir avec le décès totale­ment injuste de Poussey, et ça con­tin­ue. Nos détenues en ont plus qu’assez, et c’est la goutte qui fait débor­der le vase et surtout qui déclenche la rébel­lion et l’emprisonnement des gar­di­ens par les détenues elles-même. On se con­cen­tr­era donc sur les négo­ci­a­tions avec les autorités, mais aus­si sur les déboires de nos détenues, pas tou­jours très futées. Cepen­dant, j’ai surtout ressen­ti cette dernière sai­son comme un ter­ri­ble cri d’in­jus­tice de Taystee, dés­espérée par la mort de Poussey et les traite­ments déshu­man­isants qu’elles subis­sent chaque jour en prise. Elles veu­lent jus­tice. J’ai été égale­ment extrême­ment mar­quée par le mer­veilleux per­son­nage de Suzanne alias Crazy Eyes, que l’on décou­vre tou­jours plus folle et insta­ble. En gros, j’ai adoré cette nou­velle sai­son, que j’au­rais voulu un peu plus axée encore sur les injus­tices de la prison.
  • The A Word, saison 2

Le quo­ti­di­en pais­i­ble de Paul et Ali­son Hugh­es, par­ents de deux enfants, con­naît un boule­verse­ment inat­ten­du lorsque Joe, leurs fils de cinq ans qui souf­fre depuis tou­jours de prob­lèmes de com­mu­ni­ca­tion avec les autres, est finale­ment diag­nos­tiqué autiste.

The A Word, c’est cette petite série que j’avais adoré l’an dernier et qui s’avère tou­jours aus­si pas­sion­nante. On est un poil moins axé sur les prob­lèmes d’autisme de Joe, plus pris en charge, mais on décou­vre avec atten­tion d’autres hand­i­caps comme la tri­somie 21, évo­quée à tra­vers l’his­toire d’amour de Mau­rice, le grand-père de Joe, un homme un peu bour­ru qu’on peine à imag­in­er dans cette sit­u­a­tion. Nous suiv­rons aus­si la dif­fi­culté du cou­ple parental à sur­mon­ter ces épreuves, et évidem­ment l’évo­lu­tion du jeune Joe, le tout dans une ambiance musi­cale défini­tive­ment pas­sion­nante. Je vous con­seille défini­tive­ment cette série !

  • Black Lightening, saison 1

Jef­fer­son Pierce, un super-héros qui a rac­croché son cos­tume il y a neuf ans pour s’oc­cu­per de sa petite famille, est for­cé de repren­dre du ser­vice quand sa ville se retrou­ve rongée par le crime et le règne d’un gang mafieux. Il rede­vient alors Black Light­ning un méta-humain qui a la capac­ité de manip­uler les champs élec­tro-mag­né­tiques.

Au départ, j’é­tais très attirée par l’am­biance très pop qui se dégage de cette série, et l’idée de met­tre en per­son­nages prin­ci­paux non seule­ment un homme noir, mais aus­si ses filles (dont une les­bi­enne), était intéres­sante. Cepen­dant, Black Light­en­ing souf­fre de plusieurs défauts non nég­lige­ables, à com­mencer par son scé­nario un peu ban­cal. Cer­taines intrigues sem­blent lit­térale­ment dis­paraître au cours de la sai­son pour ne jamais reparaître, d’autres sont mal exploitées. Ça reste une série qui se laisse regarder, mais pour laque­lle il ne vaut mieux pas être trop exigeant.

  • Atypical, saison 1

En quête d’amour et d’indépen­dance, Sam, un jeune autiste de 18 ans décou­vre les aléas du pas­sage à l’âge adulte. À la fois drôle et douloureux, ce chem­ine­ment à la décou­verte de lui-même boule­verse toute sa famille dont les mem­bres, con­fron­tés aux change­ments qui affectent leur pro­pre exis­tence, se posent cette ques­tion fon­da­men­tale : que sig­ni­fie être nor­mal ?

Vous devez com­mencer à le savoir à force, mais, les séries qui par­lent d’autisme, ça m’in­téresse. Du coup, il était plus que temps de m’at­tarder sur le cas d’Atyp­i­cal. Très hon­nê­ment, cette série sem­ble plus être à des­ti­na­tion des ado­les­cents qu’autre chose : à com­mencer par la préoc­cu­pa­tion qui taraude notre per­son­ne prin­ci­pal : la sex­u­al­ité. Cepen­dant, il est aus­si très intéres­sant de voir le point de vue de cette maman, qui a de ter­ri­bles dif­fi­cultés à accepter que son fils gran­disse, et bien qu’hand­i­capé par son autisme, il ait besoin et envie de s’é­manciper. Le per­son­nage de sa sœur est lui aus­si touchant. En tout cas, une série pleine d’hu­mour sur un sujet dif­fi­cile !

  • The OA, saison 1

Prairie John­son réap­pa­raît après sept ans d’ab­sence. Dis­parue subite­ment, l’en­fant était aveu­gle ; à son retour, elle ne l’est plus. Qu’a-t-il bien pu lui arriv­er ? C’est ce que vont tâch­er de décou­vrir son entourage, la sci­ence et même le FBI.

The OA

Pour être hon­nête, quand j’ai enten­du par­ler de cette série, j’ai surtout enten­du par­ler d’un cer­tain mys­ti­cisme qui l’en­tourait, et qui ne me ten­tait pas beau­coup, mais bon, c’est aus­si une série classée en sci­ence-fic­tion, et nor­male­ment, j’aime ça, donc, autant tester. Et effec­tive­ment, c’est une série très étrange, puisque son pos­tu­lat de base est l’ex­péri­ence de mort immi­nente, sujet sur lequel je n’ai pas vrai­ment d’opin­ion. Cepen­dant, au delà de l’in­trigue, The OA a un coté un poil hyp­no­tique, qui nous cap­tive et qui nous fait rester jusqu’à cette fin de sai­son hal­lu­ci­nante et pas­sion­nante à la fois. Soulignons aus­si que, visuelle­ment, cette série est tout sim­ple­ment sub­lime. Hors de ques­tion pour moi de rater la sec­onde sai­son !

  • The Good Doctor, saison 1

Atteint du syn­drome d’Asperg­er ain­si que de celui du savant, le chirurgien Shaun Mur­phy, fraîche­ment diplômé, rejoint un pres­tigieux hôpi­tal de San José. Livré à lui-même, il éprou­ve des dif­fi­cultés à s’in­té­gr­er à l’équipe. Mais en met­tant son incroy­able don au ser­vice de ses patients, ce jeune prodi­ge sus­cite vite de l’ad­mi­ra­tion chez cer­tains de ses pairs. D’autres, en revanche, n’at­ten­dent qu’une erreur de sa part pour le met­tre hors course.

The Good Doctor

De l’autisme ET du médi­cal dans la même série ? Autant dire ban­co ! Je suis totale­ment fan de cette série et de son per­son­nage prin­ci­pal : on décou­vre un autiste qui sem­ble avoir réus­si sa vie, puisqu’il entame des études pour devenir chirurgien, un méti­er dif­fi­cile d’ac­cès pour tout le monde, et qui pour­tant est en souf­france chaque jour ou presque. Sa fran­chise désar­mante con­duit sou­vent à des quipro­qu­os, cer­taines sit­u­a­tions ren­con­trées le font pani­quer et s’in­ter­roger. Les rela­tions humaines sont ter­ri­ble­ment com­plex­es, et c’est bien pire pour tous ceux et celles qui éprou­vent des dif­fi­cultés à les décrypter : cette série le mon­tre par­ti­c­ulière­ment bien. Si le thème vous intéresse, je ne peux que vous la con­seiller !

 

Pour les séries suiv­ies de longue date, NCIS, c’est un peu comme l’an dernier, ça se main­tient, mais la série subit beau­coup de départs qui me fait crain­dre la suite. Crim­i­nal Minds stagne, et ptas dans le bon sens du terme, Grey’s Anato­my ne fait pas beau­coup mieux, par con­tre The Big Bang The­o­ry arrive enfin à se renou­vel­er un peu. C’é­tait la dernière sai­son pour The Fos­ters, et elle était franche­ment meilleure que d’autres, mais il était tout de même temps de son­ner le clap de fin. A not­er qu’un spin-off est prévu.

shaya

6 réflexions sur « Sur les écrans #8 »

  1. Alors dans ce que j’ai vu…
    — Beau­coup aimé La forme de l’eau, très belle atmo­sphère et je me suis lais­sée emporter par l’his­toire très con­te
    — Bien aimé le Avengers (plutôt une bonne sur­prise je trou­ve même si j’au­rais aimé voir plus du Cap­tain Amer­i­ca, mais c’est pour la suite j’imag­ine ^^)
    — Jes­si­ca Jones j’ai un peu moins accroché à la sai­son 2 (et effec­tive­ment Trish dans cette sai­son c’est pas foli­chon, elle fait juste toutes les con­ner­ies de la Terre xD)
    — OITNB c’est pas ma sai­son favorite non plus (le for­mat sur une durée très courte était un peu per­tur­bant)
    — The OA j’ai trou­vé ça bizarre mais chou­ette, j’at­tends la suite !

    1. Mer­ci pour tes avis ! La forme de l’eau c’est tout à fait ça, on se laisse pren­dre mais c’est pas oufis­sime, tout comme le Avengers. C’est dom­mage pour Jes­si­ca Jones, j’adore per­son­nelle­ment cette sai­son XD

  2. Super intéres­sant. Je décou­vre avec ce bil­let la plu­part des séries dont tu par­les! 🙂 Je n’ai pas trop aimé la Forme de l’eau mal­gré des qual­ités indé­ni­ables et j’ai trou­vé qu’In­fin­i­ty Wars pou­vait mieux faire. Je suis con­tente de les avoir vus, hein, mais bon ils ne m’ont pas mar­quée. Para­doxale­ment, j’at­tends toute­fois la suite des films Mar­vel avec impa­tience.

    1. Alors tant mieux si je fais décou­vrir de nou­velles séries ! La forme de l’eau, je pense effec­tive­ment que si on arrive pas à être pris dans l’his­toire, c’est pas extra­or­di­naire … Infin­i­ty Wars, pareil, on ver­ra bien ce que ça va don­ner pour la suite !

  3. Tu n’as pas raté le 15h17 pour Paris :p
    Jes­si­ca Jones est sur ma liste de série à voir (en bonne posi­tion mais à chaque fois il y en a de nou­velles qui vien­nent s’a­jouter).

    1. Ha je com­prends ton prob­lème pour Jes­si­ca Jones, mais per­so je fais par ordre d’an­ci­en­neté plus ou moins pour les séries !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Revenir en haut de page