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A la pointe de l’épée, de Ellen Kushner

 

Auteur : Ellen Kush­n­er — Tra­duc­teur : Patrick Mar­cel
Edi­teur : Gal­li­mard — Paru­tion : 04/03/2010
Prix : 7.70€ — ISBN : 9782070399079

A propos de l’auteur

Roman­cière new-yorkaise, Ellen Kush­n­er est née à Cleve­land (Ohio).
Pas­sion­née par l’his­toire médié­vale et les tra­di­tions, elle a dirigé une col­lec­tion de fan­ta­sy avant de se lancer dans l’écri­t­ure.

Résumé

Nous voici dans une ville médié­vale, dont nous ne con­nais­sons pas le nom d’ailleurs. Bref. Nous suiv­ons les pas de Richard Saint-Vière, bret­teur red­outable et réputé. Seule­ment, notre ami va être demandé par plusieurs per­son­nes, et se retrou­ver empêtré dans les intrigues poli­tiques des nobles.

Ressenti

Tout d’abord, il faut savoir que la qua­trième de cou­ver­ture n’est pas vrai­ment ce à quoi on pour­rait s’at­ten­dre. Oui, on a quelques duels, mais il faut avouer que la majorité de l’in­trigue se con­stitue de divers­es intrigues poli­tiques. On se deman­dera égale­ment très vite qui est le fameux Alec, com­pagnon de Richard, ou encore ce qu’est le rôle de Michaël God­win, jeune lord.

C’est peut-être là qu’à mon goût le réc­it pêche le plus. En effet, Lord Michaël est très présent (à peu près un chapitre sur deux) pen­dant plus de la moitié du réc­it, et au final, pfiou, plus rien, il sem­ble avoir dis­paru de l’in­trigue. Les con­ver­sa­tions ne sont pas plus tou­jours très plaisantes à lire, beau­coup sont poli­tiques, et il est par­fois un peu dif­fi­cile de les suiv­re.

Cepen­dant, ce roman se lit bien une fois qu’on a accroché à l’his­toire. Le per­son­nage d’Alec est très intéres­sant, on se demande mille fois ce qu’il peut bien faire avec un tel bret­teur, le pourquoi de son atti­tude, et on ne s’at­tend cer­taine­ment pas à la fin.

Un réc­it prenant donc, mais peut-être pas le meilleur de l’au­teur.

 

shaya

Un commentaire sur “A la pointe de l’épée, de Ellen Kushner

  1. Oui le qua­trième de cou­ver­ture a ten­dance a induire en erreur. Les cir­con­vo­lu­tions poli­tiques sont bien pus présentes que les duels ou que toute autre action de cape et d’épée. C’est tout de même prenant, mais pas tout a fait ce que l’édi­teur laisse enten­dre

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