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Sur les écrans #10

Oui, c’est encore un long arti­cle, con­sacré entière­ment aux séries. Mais main­tenant que mon rat­tra­page est qua­si­ment ter­miné, la sit­u­a­tion devrait revenir à la nor­male, c’est promis !

Séries

 

Chicago Med, saison 4

La série racon­te le quo­ti­di­en des médecins du Chica­go Med­ical Cen­ter, le cen­tre hos­pi­tal­ier d’ur­gences de Chica­go.

Chicago Med, saison 4
Atten­tion, c’est par­ti pour un bref avis sans spoil­er : je suis un peu mit­igée de cette dernière sai­son. Cer­taines choses sont étranges, d’autres bien faites. Pour en savoir, ouvrez les spoil­ers.
Spoil­er
Cette nou­velle sai­son de Chica­go Med est à la fois intéres­sante et frus­trante. Pour exem­ple, toute la par­tie sur Will qui se retrou­ve dans les ennuis et cache tous ces ennuis à sa femme est claire­ment agaçante à mon goût, car trop longue. Que le cou­ple se sépare est com­préhen­si­ble, mais que Nathalie reparte si rapi­de­ment sur une rela­tion ? (elle a tout de même tout arrêté le jour de son mariage). Du côté posi­tif, la rela­tion entre Ethan et sa soeur, ex-tox­i­co qui arrive à Chica­go, est très intéres­sante et touchante. On sent d’un côté l’af­fec­tion qu’il a pour elle, mais aus­si tout l’én­erve­ment que sa soeur apporte avec, elle qui ne fait que se met­tre dans les ennuis.
Ce qui est fait avec le per­son­nage de Con­nor Rhodes est un peu plus mit­igé pour moi. J’aime beau­coup le fait qu’il évolue sur sa rela­tion avec son père, mais il a tout de même un com­porte­ment étrange par moment. D’ailleurs, mes recherch­es m’ont appris un départ de l’ac­teur qui ne sera pas présent en sai­son 5, tout comme le per­son­nage d’A­va, et c’est une grosse décep­tion. RIEN n’est fait dans le final de la sai­son pour expli­quer leurs futures absences, espérons que le pilote rat­trapera ça.
Con­clu­sion ? Je ne sais que trop penser de cette sai­son. Le per­son­nage de Sarah Reese manque claire­ment dans tout ça, et avec les pertes de per­son­nages à venir… A voir !

Chicago PD, saisons 1 à 6

Des officiers en uni­forme qui patrouil­lent et com­bat­tent le crime dans la rue, aux mem­bres de l’u­nité des ren­seigne­ments affec­tés à des affaires majeures (crime organ­isé, traf­ic de drogue, homi­cides…), toutes les recrues du poste de police du dis­trict 21 de Chica­go risquent quo­ti­di­en­nement leurs vies. Ces énormes respon­s­abil­ités dépassent sou­vent le sim­ple cadre pro­fes­sion­nel et entâchent la sphère privée de ces hommes et de ces femmes d’ex­cep­tion.

Chicago P.D, saison 6

J’é­tais per­suadée vous avoir déjà par­ler de cette série, alors que non. Du coup, c’est par­ti pour un avis sans spoil­ers de la glob­al­ité de la série. Vous êtes peut-être déjà au courant, mais côté séries, j’ai deux pêchés mignons : les séries médi­cales, et les séries poli­cières. Celle-ci est un peu par­ti­c­ulière, et se détache à mon sens des autres séries poli­cières exis­tantes par sa bru­tal­ité. En effet, un des per­son­nages prin­ci­paux, Hank Voight, est en effet rel­a­tive­ment sans scrupule, et la vio­lence poli­cière est claire­ment au pro­gramme. J’adore égale­ment le fait que, du moins au démar­rage de la série, nous suiv­ions égale­ment des “bleus”, à savoir des agents en patrouille, qui doivent répon­dre à des appels pour des choses par­fois totale­ment banales, et aus­si, de temps à autre, y décou­vrir des hor­reurs. Une très bonne série poli­cière donc, mais à réserv­er aux per­son­nes qui ont le cœur bien accroché !

Chicago Fire, saisons 1 à 7 

Aucun tra­vail n’est plus stres­sant, dan­gereux ou grisant que celui des pom­piers, des sec­ouristes et des aux­il­i­aires médi­caux de Chica­go. Ces hommes et femmes d’élite de la caserne 51 bravent le dan­ger quand d’autres pren­nent la fuite. Avec la pres­sion, les respon­s­abil­ités et les égos sur­di­men­sion­nés vien­nent les désac­cords et les ten­sions au sein des mem­bres de l’équipe. Et quand la tragédie frappe l’un d’eux, la cul­pa­bil­ité et les reproches fusent. Pour­tant, le moment venu de pass­er à l’ac­tion, les dis­sen­sions sont lais­sées de côté pour céder la place à la sol­i­dar­ité. Bien­v­enue au cœur du quo­ti­di­en des plus nobles des pro­fes­sions !

Chicago Fire, saison 7

Pour une obscure rai­son, il sem­blerait que je ne vous ai jamais par­lé non plus de Chica­go Fire, que je suis pour­tant depuis longtemps. Shame on me. Chica­go Fire, c’est une série décou­verte il y a un ou deux ans, et que j’adore. Nous suiv­ons ici le per­son­nel de la caserne 51, répar­ti en 3 équipes, le camion, l’échelle, et les ambu­lanciers. C’est l’oc­ca­sion de décou­vrir leur quo­ti­di­en, avec toutes les dif­fi­cultés que ça implique, car oui, on ne peut tou­jours sauver tout le monde. A ce niveau-là, le rôle des chefs d’équipe (ou de la caserne) est extrême­ment dif­fi­cile : com­ment dire à une équipe qui tente de sauver un bâti­ment en flamme avec des vic­times à l’in­térieur, qu’ils doivent sor­tir de là, parce que le bâti­ment va s’effondrer/exploser, etc, et surtout gér­er son équipe ? Il est égale­ment intéres­sant de voir la prox­im­ité qui est mon­trée entre la pop­u­la­tion du quarti­er et les pom­piers, quelque chose qui ne me sem­ble pas exis­ter en France. Au fil de la série, bien des sujets seront abor­dés, comme la perte d’un coéquip­i­er, l’al­coolisme, la drogue, la stéril­ité, la place des femmes dans ce monde d’hommes, ou plus récem­ment encore la dif­fi­culté de vieil­lir dans cet envi­ron­nement très exigeant physique­ment. En con­clu­sion, c’est une série que je vous recom­mande si le quo­ti­di­en des per­son­nels de sec­ours peut vous intéress­er.

  • Grey’s Anatomy, saison 15

Mered­ith Grey, fille d’un chirurgien très réputé, com­mence son inter­nat de pre­mière année en médecine chirur­gi­cale dans un hôpi­tal de Seat­tle. La jeune femme s’ef­force de main­tenir de bonnes rela­tions avec ses cama­rades internes, mais dans ce méti­er dif­fi­cile la com­péti­tion fait rage…

Grey's Anatomy saison 15
Pour vous don­ner un avis bref sans spoil­er : c’est mieux que ce que je craig­nais. Et même franche­ment sym­pa­thique sur la fin.
Cliquez pour les spoil­ers !
La sai­son précé­dente de Grey’s Anato­my avait vrai­ment été entre la décep­tion et l’en­t­hou­si­asme, mais celle-ci a su me con­va­in­cre. C’est dû au traite­ment des per­son­nages d’Amélia et de Jo, deux per­son­nages que j’af­fec­tionne par­ti­c­ulière­ment. On a vu Amélia grandir et s’amélior­er con­sid­érable­ment dans les dernières saisons, et encore plus dans celle-ci où elle est face à une sit­u­a­tion dif­fi­cile, à savoir aider une ado­les­cente tox­i­co­mane qui ne peut que lui rap­pel­er son passé et son addic­tion, et une rela­tion com­plexe avec Owen, qui attend un enfant d’une autre femme. Pour Jo, nous avons une révéla­tion sur ses orig­ines qui sem­ble détru­ire com­plète­ment le per­son­nage de cette femme pour­tant forte, et son écroule­ment est intéres­sant à observ­er (oui, c’est très bizarre dit comme ça, je sais !). La petite décep­tion pour moi dans cette sai­son, c’est que les per­son­nages his­toriques de la série sont devenus inin­téres­sants. Bai­ley est las­sante, Mered­ith aus­si, Alex tourne en rond depuis quelques saisons, et oui, on a bien com­pris qu’il voulait absol­u­ment se mari­er et faire des goss­es, mer­ci. Heureuse­ment on a d’autres élé­ments intéres­sants cette sai­son avec le per­son­nage de Richard, qui doit faire face à la mal­adie de sa femme, et cette dernière à la mal­adie, elle que l’on con­naît comme un per­son­nage extrême­ment fort. En con­clu­sion ? Cette sai­son était plutôt intéres­sante, on ver­ra bien ce que va nous annon­cer la suite !
  • Station 19, saisons 1 et 2

Les aven­tures héroïques d’un groupe de pom­piers de Seat­tle risquant tous les jours leurs vies. En pas­sant tant de temps ensem­ble, les mem­bres de l’équipe nouent des rela­tions qui ne ressem­blent à aucune autre. Con­fi­ante et dure à cuire, Andy Her­rera a pra­tique­ment gran­di dans la caserne dirigée par son père. La jeune femme, qui a tant à cœur de bien faire son tra­vail, doit gér­er les com­pli­ca­tions de la sphère privée.

Station 19

Sta­tion 19, c’est le spin-off de Grey’s Anato­my, cen­tré sur sur les pom­piers de Seatlle. Il s’ag­it d’une série où on ne sait pas trop pourquoi on con­tin­ue à regarder, mais on con­tin­ue quand même, du moins, pour moi. On est moins sur du réal­isme et sur le quo­ti­di­en de la vie de pom­piers, mais plus sur le côté romances et privés, un peu comme dans Grey’s Anato­my. La diver­sité des per­son­nages est intéres­sante, un gay, une bisex­uelle, un homme qui doit gér­er sa famille envahissante qui voudrait qu’il se marie, et avec la femme choisie par sa mère, tant qu’à faire, et on y retrou­ve aus­si Ben War­ren, présent aupar­a­vant dans Grey’s Anato­my. Cepen­dant, même si la série en soi n’est pas excep­tion­nelle, elle est très touchante par cer­tains moments, et la sai­son 2 était à mon sens un peu meilleure. Elle sera donc suiv­ie pour moi l’an prochain.

  • Charmed 2018, saison 1

Après la mort de leur mère, les trois soeurs Mel, Mag­gie et Macy décou­vrent qu’elles sont les descen­dantes d’une lignée de sor­cières. Entre les démons à mas­sacr­er, le patri­ar­cat à com­bat­tre et les liens famil­i­aux à main­tenir intacts, le boulot d’une sor­cière n’est jamais ter­miné.

Charmed, ça fait par­tie des séries que j’ai énor­mé­ment regardé ado­les­cente. Et avouons-le, au chô­mage, on a du temps à tuer, et c’est bien pour ça que j’ai entamé ce reboot de la série orig­inelle. Les dif­férences sont d’ailleurs nom­breuses : les car­ac­tères des per­son­nages sont assez dif­férents, et la fratrie orig­inelle n’est que de deux (l’une des sœurs a été élevée loin des autres).  Le reboot de la série a claire­ment choisi de cibler un pub­lic jeune, et abor­de des thé­ma­tiques de son temps comme le fémin­isme, le les­bian­isme, et bien d’autres choses encore. Si à cer­tains moments la série a su me plaire (j’aime beau­coup cet être de lumière typ­ique­ment anglais et sa prob­lé­ma­tique), ce n’est pas un reboot très pas­sion­nant pour autant : tout va trop vite. Les trois sœurs ont à peine le temps de se ren­con­tr­er et d’ap­privois­er leurs pou­voirs qu’elles sont déjà con­fron­tées à ce qui sem­blait être le dan­ger du siè­cle, et le final de la sai­son me dérange claire­ment. En clair, il n’est absol­u­ment pas cer­tain que la suite fasse par­tie des séries que je regarde.
  • Quicksand, saison 1

Adap­té du roman “Rien de plus grand” écrit par Malin Pers­son Gioli­to, Quick­sand se déroule neuf mois après qu’une fusil­lade a éclaté dans une école de la ban­lieue la plus riche de Stock­holm. Une étu­di­ante va se retrou­ver en procès pour meurtre 

Quicksand

Avant toute chose, pré­cisons que je ne con­nais­sais pas le livre dont est adap­té la série avant vision­nage, et qu’il n’est tou­jours pas prévu que je le lise, puisqu’à vrai dire, c’est une série vue avec mes par­ents fans de polici­er, que je n’avais pas spé­ciale­ment prévue de regarder. Et pour­tant, que cette série est intéres­sante ! A tra­vers de nom­breux flash­backs, la série va entre­pren­dre de nous racon­ter le par­cours de Maja, mais surtout à tra­vers elle celui de Sebas­t­ian. Au début, ce ne sont que deux ado­les­cents issus de familles for­tunées, elle plus sérieuse au pre­mier abord, tan­dis que lui a un aspect plus fêtard, plus enclin à se droguer de manière fes­tive, etc. Com­ment parvien­dront-ils à cette sit­u­a­tion de meurtre de masse ? C’est ce que la série tente d’ex­pli­quer à tra­vers leur lente descente aux enfers. Il m’est impos­si­ble d’en dire plus sans spoil­er, je vous dirai donc seule­ment que c’est une série pas­sion­nante qui explore l’en­vers du décor de ces gamins de rich­es, qu’on pour­rait par­fois envi­er.

  • Sex education, saison 1

La rebelle Maeve entraîne Otis, un ado vierge mais doté d’une mère sex­o­logue, dans la créa­tion d’une cel­lule de thérapie sex­uelle clan­des­tine au sein de leur lycée…

Sex education

Encore une série que je n’avais absol­u­ment prévu de voir, per­suadée qu’elle se des­ti­nait à un pub­lic plus ado­les­cent, et finale­ment… Tout d’abord, atten­tion, la série est crue, et les choses sont dites franche­ment, autant appel­er un chat un chat. Ce qui est très intéres­sant ici, c’est la diver­sité des sujets abor­dés, comme l’a­vorte­ment, le sexe sans sen­ti­ment, l’amour sans réciproc­ité, l’ho­mo­sex­u­al­ité et ses déboires, l’ho­mo­pho­bie refoulée (ou pas), la pré­car­ité, ou encore la reli­gion. Le tout dans une ambiance col­orée et humoris­tique qui apporte un ton léger à la série. En con­clu­sion, j’ai beau­coup appré­cié cette série et vous la con­seille si le thème vous intéresse, ou si vous avez envie d’un peu de légèreté dans ce monde de brutes.

  • NCIS, saison 16

La Naval Crim­i­nal Inves­tiga­tive Ser­vice regroupe une équipe d’a­gents spé­ci­aux chargés d’en­quêter sur des crimes con­cer­nant la Marine.

NCIS, saison 16
Je vous l’ai plusieurs fois déjà : NCIS com­mence sérieuse­ment à me lass­er depuis une ou deux saisons même si je m’ob­s­tine, et j’en suis bien heureuse puisqu’à mon sens, cette sai­son relève le niveau.
Spoil­ers alert
C’é­tait prévis­i­ble et annon­cé étant don­né l’âge de David McCal­lum, qui a tout de même 85 ans, le per­son­nage de Ducky dis­paraît pro­gres­sive­ment dans cette sai­son. Je trou­ve l’idée bien amenée de le met­tre à un poste où on voit beau­coup moins le per­son­nage, mais où il appa­raît tout de même un peu. Le véri­ta­ble intérêt à mes yeux de cette sai­son, c’est de voir le per­son­nage de Gibbs en pleine inter­ro­ga­tion sur ses actes passés et sur lui-même. Ca nous change un peu, et c’est bien agréable. L’autre chose appré­cia­ble est à mon sens le per­son­nage de McGee, qui prend de plus en plus une place de chef d’équipe avec son patron. Cepen­dant, le vrai “bon­heur” de cette sai­son, c’est l’an­nonce qui a été faite à la toute fin, à savoir le retour de Ziva David, pré­sumée morte des années aupar­a­vant. On la ver­ra dans la prochaine sai­son, et c’est avec un grand plaisir que j’at­tends ça, en espérant même une appari­tion de DiNoz­zo, qui est par­ti vivre à Paris avec sa fille (qui est aus­si celle de Ziva) quelques saisons plus tôt. Il va fal­loir patien­ter jusqu’en sep­tem­bre en espérant que ça vaille le coup !

 

Au pro­gramme la prochaine fois … Avengers : Endgame, des films his­toriques, et la suite de Killing Eve, Orange is the new black, et on ver­ra bien pour le reste !

shaya

12 réflexions sur « Sur les écrans #10 »

  1. Chica­go à la plage, Chica­go fait les cours­es, Chica­go à l’é­cole, Chica­go… =P
    Comme tu aimes les séries poli­cières, con­nais-tu “The Rook­ie” ? Ce n’est pas révo­lu­tion­naire, mais c’est franche­ment sym­pa. ^^

  2. Le com de Baroona m’a fait sourire parce que j’avoue j’y ai pen­sé aus­si. De toutes, je m’in­téresserai peut-être bien à Chica­go PD. En médi­cale, j’ai regardé les 2 dernières saisons de Grey’s anato­my, après avoir lâché durant des années. L’im­pres­sion que ça ne gêne en rien, le feed­back je l’avais eu par les col­lègues ^^
    Sinon dans le genre, je regarde Good doc­tor.

    Donc dans tout ce que tu présentes, je n’ai vu autrement que Quick­sand. J’ai trou­vé la série intéres­sante parce qu’elle amène à réfléchir sur le jeu des influ­ences (manip­u­la­tion par les sen­ti­ments, rela­tion parentale), sur le “désœu­vre­ment” des goss­es de riche (même s’il est très clas­sique en soi), sur le racisme et la dif­fi­culté à assumer d’où l’on vient, etc.
    Et le jeu de certain.es acteur.ices étaient pas mal bon. Y a des doutes qui sub­sis­tent jusqu’à qua­si la fin sur le pourquoi du com­ment et les respon­s­abil­ités.
    A part ça, y a quand même de gros clichés. Mais vrai­ment pas mal comme mini séries.

    Hâte de lire ton retour sur la sai­son 2 de Killing Eve. J’ai kif­fé!

    1. Haha XD J’avoue que je suis un peu amoureuse de cette licence en moment. Chica­go PD est top, mais un peu vio­lent par moment je ne l’ai pas pré­cisé je crois. Pas mal de vio­lences poli­cières.
      Pour GA, c’est sûr que sans les 2 dernières saisons on s’en sort, ça se regarde mais ça a claire­ment per­du en qual­ité. J’ai vu aus­si Good Doc­tor !
      Quick­sand c’est sûr pour les clichés. On reste bien dans la ban­lieue chic avec les goss­es de rich­es hein XD Mais c’est intéres­sant quand même.

  3. Oui il m’ôte les mots de la bouche : tu as un truc avec Chica­go ?
    Au fait je me demandais au vu de ces séries avec des pom­piers des policiers et autres per­son­nel médi­cal, tu con­nais New York 911 ? Aus­si appelée SOS sec­ours ou Third Watch en anglais.

    1. Plus avec les séries sur les pom­piers je crois en fait. C’est comme ça que j’ai décou­vert Chica­go Fire, et après j’ai regardé les spin-offs. Pour New York 911, je pense l’avoir déjà croisé à la télé et je con­fonds aus­si vis­i­ble­ment avec une autre série qui s’ap­pelle juste 9.1.1 (pas très bonne), du coup, je vais aller voir ça de plus près, mer­ci !

  4. Et bah que de séries médicales/pompières/policières xD
    Mer­ci pour ton retour sur Charmed nou­velle ver­sion, je pen­sais pas la regarder, main­tenant je suis sûre. Sex Edu­ca­tion m’in­trigue mais bon, mes créneaux série étant lim­ités…

  5. Ahah excel­lent cette pas­sion pour Chica­go. (Oui, oui, moi aus­si je me suis dit ça.) Je ne regarde pas de série donc je ne suis rien dans cette liste, mais j’ai entre­vu Sex Edu­ca­tion quand mon copain a regardé et ça m’a sem­blé très bien, je me suis un peu dit que j’au­rais bien eu besoin de voir ça quand j’é­tais au lycée! 🙂

    1. Je peux être assez sen­si­ble à cer­taines ambiances de ville ^^ Les romans de Den­nis Lehane m’ont par exem­ple fait adoré Boston.

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