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La cité des anciens 1, de Robin Hobb

 

Auteur : Robin Hob – Traducteur : Arnaud Mousnier-Lompré
Editeur : J’ai Lu – Parution : Novembre 2011
ISBN : 9782290032763 – Prix : 7.60 €

A propos de l’auteur

L’assassin royal et sa suite, Les aventuriers de la mer, ont fait de Robin Hobb un auteur incontournable dans le paysage de la fantasy contemporaine. Avec sa nouvelle série, Les cités des Anciens, dont voici le premier opus, elle explore de nouvelles facettes du monde qui a fait sa renommée.

Quatrième de couverture

Dans le Désert des Pluies, les serpents géants se sont enfermés dans leurs cocons pour se transformer en dragons et assurer la pérennité de leur race.Mais, trop vieux, trop affaiblis, ils ne donnent que des créatures difformes, incapables de survivre sans l’aide des humains. Autour d’eux gravitent Thymara, jeune fille aux mains et aux pieds griffus, que ses parents n’auraient jamais dû laisser vivre; Alise, tiraillée entre un époux qui la méprise et sa passion des dragons; et Leftrin, capitaine de vivenef à l’honnêteté douteuse, qui tombe sur une bille de bois-sorcier et choisit de la vendre au plus offrant malgré l’interdiction formelle qui pèse sur ce genre de commerce.

 

Ressenti

Même si aucun de mes billets n’a concerné Robin Hobb jusqu’à présent, j’ai lu ses livres il y a longtemps, et il est bien difficile d’entamer un billet sur un ouvrage d’elle, d’autant plus qu’il ne s’agit que du tome 1. Mais allons-y joyeusement !

Ici, nous restons dans le monde de l’Assassin Royal, et nous sommes à peu près dans la même période. Plus précisément, nous sommes à l’arrivée des serpents de mer à leur lieu d’éclosion. Et comme nous le verrons, cette éclosion ne tournera pas exactement comme prévue. Nous suivons tout d’abord la serpent Sisarqua, qui raconte les difficultés encourues pour arriver jusqu’ici, et la peur de ne pas survivre, mais aussi l’espoir d’une vie meilleure sous forme de dragonne.

On va suivre également les pas Thymara, jeune fille aux membres déformées, qui n’aurait pas du vivre, fascinée par les serpents et les dragons, habitante du désert des pluies. Par elle, on apprend à connaître un peu mieux cette région et ces habitants. Ensuite, vient Alise, Terrilvienne, fille de marchand ruinée, mais érudite passionnée par les dragons. De tous les personnages, c’est sans doute celle qui m’a plus le touchée, par sa résignation à son sort. Elle refuse d’accepter son destin et préfère se consacrer à ses études, même si c’est mal vu. Enfin, nous avons Leftrin, capitaine d’une vivenef, que l’on voit assez au final dans ce premier tome.

Ce fut donc un plaisir de retrouver la plume de Robin Hobb, on rentre très facilement dans l’histoire, mais je l’avoue sans honte, j’attends les tomes suivants pour voir comment tout cela évolue !

shaya

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