Accueil » Bilan » Feuilles de mai 2012

Feuilles de mai 2012

Books
 
  • Désac­cords impar­faits, de Jonathan Coe : Recueil de trois nou­velles, ce fut là ma pre­mière ren­con­tre avec l’au­teur, et un franc suc­cès. On y par­le fan­tômes, films, et une petite part d’au­to-biogra­phie, et c’est très sym­pa­thique !
  • Les anges de New York, de James Ellory : Un polar, qui nous par­le d’une unité spé­cial de New York. Entre un enquê­teur per­du à la recherche de son passé, et une intrigue com­plexe, on est très vite absorbé par ce roman très intéres­sant.
  • Mis­éri­corde, de Jus­si Adler-Olson : Un pre­mier roman, encore un polar, où on aura droit à un enquê­teur chargé des affaires classés, avec un assis­tant syrien quelque peu par­ti­c­uli­er. On y suit une fab­uleuse his­toire du passé, celle d’une jeune femme portée dis­parue des années plus tôt. Le sus­pens sera au ren­dez-vous !
  • Pro­fa­na­tion, de Jus­si Adler-Olson : Et on retrou­ve notre petite équipe, pour une enquête dans le milieu de la haute société danoise. Un plaisir de retrou­ver ces per­son­nages, agré­men­tés d’une secré­taire grinçante, pour une enquête palpi­pante.
  • Fuck Amer­i­ca, d’Edgar Hilsen­rath : Jakob Bron­sky débar­que aux USA, après vécu dans les ghet­tos juifs pen­dant la sec­onde guerre mon­di­ale. Son objec­tif ? Ecrire son roman best-sell­er. Son obses­sion ? Le sexe. Un roman qui décape et qui nous donne une tout autre image de l’Amérique des années 50.…
  •  Hunger Games (trilo­gie), de Suzanne Collins : Le pre­mier tome est bien prenant, le sec­ond ressem­ble trop au pre­mier, et le troisième est sym­pa­thique, avec un cap­i­tal émo­tions impor­tant. La trilo­gie est intéres­sant mais pas excep­tion­nelle.
  • Purge, de Sofi Oksa­nen : Nous voilà en Estonie, entre deux femmes, l’une jeune, et l’autre vieille, qui se ren­con­trent, et qui ont une his­toire en com­mun. A tra­vers elles, on peut voir une par­tie de l’his­toire de l’E­stonie com­mu­niste d’après la guerre, jusqu’à l’ef­fon­drement de l’u­nion sovié­tique en 1992. Pas­sion­nant roman sur l’Eu­rope de l’Est.
  • Top Killer, de Jon Osborne : THE crime par­fait, voilà à quoi rêve Nathan, tueur en série, actuelle­ment occupé à repro­duire scrupuleuse­ment des meurtres de tueurs célèbres. On retrace avec lui leurs his­toires, tan­dis que Dana mène l’en­quête. Un polar dans les monde des tueurs en série, qui fiche vrai­ment la trouille, pour le coup.
  • Loin­tain sou­venir de la peau, de Rus­sell Banks : Chronique ici
  • Le galop d’es­sai, d’Anne McCaf­frey : Chronique ici
  • Le bond vers l’in­fi­ni, d’Anne McCaf­frey : Chronique ici
  • La Rowane, d’Anne McCaf­frey : Chronique ici
  • Le maître du haut-château, de Philip K. Dick : Chronique ici
Films
  • De Rouilles et d’Os, de Jacques Audi­ard : Ce film avait pas mal d’élé­ments pour me plaire, comme la présence de Mar­i­on Cotil­lard, le thème de la mer, mais le courant n’est pas passé. L’his­toire en elle-même est assez intéres­sante, et les mon­des de la boxe et de la mer m’ont bien plu. Où est donc le souci me direz-vous ? Il est avec Ali, joué par Matthias Schoe­naerts. Je ne doute pas que le per­son­nage soit bien joué, mais l’en­nui est que ce per­son­nage, l’un des prin­ci­paux, m’a été totale­ment insup­port­able pen­dant une par­tie du film. Dom­mage !
  • Sur la route, de Wal­ter Salles : Le livre est dans ma PAL et n’at­tend que d’être lu, en atten­dant, il me sem­blait que ça ne serait pas trop gênant pour voir le film. Celui-ci est sym­pa­thique, j’aime beau­coup ces ambiances qui ressem­blent à d’autres films du même style, cepen­dant Sur la route pêche par son rythme. Si à cer­tains moments on est totale­ment pris dans l’his­toire, à d’autres, on s’en­nuie. Peut-être aurait-il fal­lu lire le roman pour vrai­ment com­pren­dre le film et son rythme si étrange ? Allez savoir.
  • Dark Shad­ows, de Tim Bur­ton : Dif­fi­cile d’échap­per au dernier-né de Tim Bur­ton ! Celui-ci est très agréable à voir, même n’ayant vu que peu de films de lui je ne peux pas com­par­er avec les anciens, l’am­biance et les per­son­nages sont bur­lesques à souhait, et on passe un bon moment avec Barn­abas et sa famille ! Men­tion spé­ciale à Michelle Pfeif­fer, par­faite dans son rôle de méchante sor­cière sexy.
  • A moi seule, de Frédéric Videau : Un film sur une enfant enlevée, voilà qui n’est pas facile à faire et à regarder. C’est assez ter­ri­fi­ant d’es­say­er de com­pren­dre ce qui se passe dans la tête du kid­nappeur, et de la petite fille gardée en otage. C’est aus­si ter­ri­ble de voir cette enfant dev­enue ado­les­cente ten­ter dés­espéré­ment de retrou­ver un équili­bre… Mag­nifique film.

shaya

8 réflexions sur « Feuilles de mai 2012 »

  1. Bon ça va : Hunger games pas excep­tion­nelle mais trilo­gie intéres­sante : je peux donc con­tin­uer sa lec­ture. Je n’ai lu que le pre­mier tome…
    Je note que tu te fais plaisir avec McCaf­frey et tu as bien rai­son 🙂
    Je pen­sais déjà voir Dark Shad­ows, mais je note aus­si “à moi seule”

    1. Bonne idée pour Hunger Games ! J’e­spère par con­tre que tu arriveras à voir “A moi seule”, à Paris il était dif­fusé dans un ciné d’art et d’es­sai donc bon, faut arriv­er à le trou­ver !

  2. McCaf­frey à force d’en enten­dre par­ler, cela donne encore plus envie, j’ai la pre­mière Inté­grale de la Bal­lade de Pern, faut que je m’y mette.
    Hunger Games fait aus­si par­tie des livres que j’ai l’in­ten­tion de lire un jour 🙂

  3. J’ai beau­coup aimé De rouille et d’os pour ma part. Sur la route, je pense que je n’au­rai pas le temps de le voir, j’ai vu des chroniques plutôt mit­igées qui l’ont fait reculer dia­ble­ment dans la liste des films pri­or­i­taire.

  4. Il faut que j’aille voir De rouille et d’os… par con­tre Dark Shad­ows j’ai un peu jeté l’éponge, trop de mau­vais­es cri­tiques (pour une bande annonce qui m’at­ti­rait pas trop à la base).

    1. Ah oui ? Tu me diras ce que tu as pen­sé du Audi­ard, alors, his­toire de voir si je suis la seule à faire une allergie au per­son­nage prin­ci­pal 🙂

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Revenir en haut de page