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Les malheurs de Mille Plume, de Jacqueline Wilson

 

Auteur : Jacque­line Wil­son — Tra­duc­teur : Cécile Dutheil de la Rochère
Edi­teur : Gal­li­mard jeunesse — Paru­tion : Jan­vi­er 2011
ISBN : 9782070632510 — Prix : 13.50 €

A propos de l’auteur

Jacque­line Wil­son écrit à neuf ans son pre­mier livre de 22 pages inti­t­ulé ” meet the Mag­gots” qui par­le d’une famille de 7 enfants. Elle étudie d’abord le secré­tari­at puis se lance dans le jour­nal­isme et dans l’édi­tion .A 19 ans, elle épousa William Mil­lar Wil­son. Deux ans plus tard, elle eut une fille nom­mée Emma. À 24 ans, elle écrit ses pre­miers romans à des­ti­na­tion des pré-ado­les­cents. Tous ses livres sont illus­trés par Nick Shar­ratt. Elle a rem­porté de nom­breux prix, dont le “Chil­dren’s Book Award” en 2000 et 2003 ain­si que le prix Tam-Tam pour Lulu Bouche-cousue. Elle vit aujour­d’hui près de Lon­dres. En 2008, elle a été élevée au rang de Dame de l’Em­pire bri­tan­nique.

Résumé

Mille Plume est une petite fille aban­don­née par sa mère à la nais­sance, et qui va vivre en famille d’ac­cueil, où elle est heureuse. Mal­heureuse­ment, à l’âge de cinq ans, elle doit retourn­er à l’or­phe­li­nat, pour recevoir une bonne édu­ca­tion…

 

Ressenti

Lon­dres, 1876. Mil­lie Plume est une petite fille rousse comme le dia­ble, que sa maman a aban­don­né à la nais­sance. Elle a été con­fiée à une famille qui est chargée de l’élever jusqu’à ses cinq ans, et la ren­dre à l’orphelinat, pour qu’elle y reçoive une bonne édu­ca­tion. Elle doit là bas dire adieu à tout ce qu’elle a con­nu aupar­a­vant, se pli­er à des règles strictes, et surtout, appren­dre tout le néces­saire pour être ser­vante une fois adulte.

 

Agréable à lire, ce roman abor­de le sujet sen­si­ble de l’abandon, et des place­ments en famille d’accueil. Jacque­line Wil­son parvient très bien à éviter de faire un roman triste, puisqu’elle a choisi de nous racon­ter l’histoire de la petite Mil­lie, joyeuse et dotée d’un fort car­ac­tère. Elle n’est certes pas exempte de défauts, mais a ses pro­pres rêves et est très attachante. On a aus­si ici un petit aperçu de la vie d’une jeune fille à Lon­dres, en 1876. His­toire de ter­min­er en beauté, le roman s’achève sur un avenir et des retrou­vailles pleines d’émotions.

shaya

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